La machine à décerveler progressiste fonctionne à plein régime. Je parlais hier de la fake news des migrants haïtiens maltraités, ce qui n’est pas la réalité. Aujourd’hui je publie deux infos complémentaires édifiantes.
La machine à décerveler progressiste fonctionne à plein régime. Je parlais hier de la fake news des migrants haïtiens maltraités, ce qui n’est pas la réalité. Aujourd’hui je publie deux infos complémentaires édifiantes.
On se souvient que la politique migratoire de Trump avait été très attaquée par les démocrates et les humanistes d’occasion. Le Donald avait été traité de manière infamante.
L’appel est clair, entre supplique et ordre. Le ton est plus modéré que celui de Donald Trump mais l’objectif est le même: tarir l’immigration illégale de masse venant du sud. C’est aussi la ligne de Joe Biden.
Le spectacle de l’assaut contre le Capitole est impressionnant. Mais pas plus que la violence extrême et la dévastation de villes par les néo-fascistes rouges vifs (anti-fa et Black Lives Matter) suite au décès de Georges Floyd. La menace fasciste, s’il y en a une, vient aujourd’hui de l’ultra-gauche.
Je prends pour acquise la défaite de Donald Trump. Pour la suite à donner aux plaintes pour fraude, les tribunaux statueront. Y a-t-il eu fraude? Disons qu’en l’état des éléments paraissent troublants. Il est donc normal que le Donald tienne sa position jusqu’au bout, au cas où il aurait raison.
Je regardais des reportages dans la rue après l’annonce de la victoire de Joe Biden. Surprise: une manifestante espérait que le nouveau président lutte contre la pauvreté.
Je montrais précédemment que la politique de Donald Trump a été favorable aux minorités ethniques. Eh bien pas seulement. La RTS et France 2 diffusaient hier soir 3 novembre une émission sur l’élection américaine, Le choix américain. Chose remarquable: le ton était posé et réfléchi, bien différent de l’hystérie de certains médias ces derniers jours.
J’écris ce billet à quelques heures des résultats de l’élection. Je sais qu’il n’est pas politiquement correct de trouver du bon au Donald. Mais je m’en fiche. Je suis saturé du bruit du monde et je veux me tenir hors du tourbillon. Trump ne me fait pas peur, et je trie dans le personnage et dans son programme.
L’accusation est récurrente: Donald Trump serait raciste. Pour moi être raciste c’est professer clairement une théorie discriminante à l’égard d’un groupe humain. C’est aussi discriminer délibérément ce groupe dans la vie sociale et professionnelle. C’est enfin agir matériellement contre les intérêts du groupe. (Image 1: Musée de l’Homme).
Si le Donald n’est pas réélu, qu’est-ce qu’on va s’ennuyer! Joe Biden, le spectre, serait plus intéressant en star invitée dans un épisode de Walking Dead.
Il y a les bons noirs. les vrais. Et les autres. Skeleton Joe, le candidat pâle, connaît la différence. Il explique même à un noir ce qu’est être noir: c’est voter pour lui.
Si en 2008 l’élection de Barak Obama m’avait enthousiasmé, certaines de ses décisions politiques m’avaient ensuite douché. En particulier les mesures sexistes qu’il avait imposé aux universités.
Le Donald est acquitté par le Congrès. Il pavoise tranquillement. C’est encore lui qui fait le spectacle. Et Nancy Pelosi qui écope du blâme. Quoi qu’ils tentent les Démocrates semblent ne parvenir qu’à renforcer Trump dans sa posture conquérante.
Être président de la France n’est pas de tout repos, quand cela ne tourne pas au calvaire. Ce n’est pas tant la grève générale du 5 décembre. Elle fait partie du bordel chronique des français. Ceux-ci votent à chaque fois pour le changement, puis ils font tout pour bloquer ledit changement. C’est leur tango.
Contre toute attente l’Amérique se porte bien et le Donald regagne en popularité. Deux ans du canard orange n’ont pas fait s’écrouler le pays, il n’a pas déclenché de guerre mondiale, et ses adversaires se radicalisent eux-mêmes en tentant de le diaboliser.
Une nouvelle campagne virale se développe aux États-Unis sous le hashtag #WalkAway. En français: s’en aller, partir. C’est une critique et un désaveu du parti démocrate. Elle a été lancée par un coiffeur styliste gay de New York, Brandon Straka.
Le psychodrame est terminé. Le candidat du président est élu. La faiblesse et les contradictions des témoignages sont sanctionnées. Les accusations ne sont pas probantes et la rage des opposants n’a pas suffi. Retour sur cet épisode.
Après un an de négociations l’administration américaine annonce la signature d’un nouvel accord de libre-échange avec le Mexique. Cet accord remanié, voulu par Donald Trump, est appelé à moderniser, voire remplacer, l’ancien Alena (accord de libre-échange nord-américain).
À force, on finira par penser que le Donald a un projet politique. Je dis ça parce que depuis son élection, nombre de ses détracteurs le présentent comme fou, imprévisible, et sans fil conducteur.
C’est une part de sa marque de fabrique: le langage d’invectives, sans manières, frontal. Stratégie politique précise dans un monde qui étouffe de plus en plus sous le conformisme moral? Ou nature propre et caractère singulier du monsieur? Peut-être les deux.
Le déchainement anti-Trump semble céder la place à plus de raison. Le président, qui ne cherche pas à plaire, a une ligne. Il n’est pas si imprévisible qu’on l’affirmait avec angoisse, laissant planer la peur d’une guerre nucléaire. Que se passe-t-il?
Le temps n’autorise aucun retour en arrière. En principe. Car l’horloge de l’apocalypse peut être actionnée dans les deux sens. Cette horloge symbolique a été inventée et popularisée par des scientifiques atomistes au début de la guerre froide en 1947.
La décision de transférer l’ambassade US à Jérusalem fait couler de l’encre. Elle est jugée dangereuse pour la paix dans cette région du monde. L’ONU a été saisie et a voté une résolution la condamnant. Malgré cela d’autres pays annoncent l’envisager eux aussi.
Quelques médias font le bilan de l’année qui finit. En particulier sur le climat. Sans convaincre. Par exemple le journaliste du Matin auteur de l’article sur l’ours polaire vedette du net, Michel Pralong.
J’écrivais en juillet que selon une étude publiée en 2015, les hommes préfèrent les femmes minces. Une révision de cette enquête le confirme. C’est le blog américain Squawker qui relaie la nouvelle en août 2017.
Le réchauffement actuel n’est qu’un sous-cycle dans la tendance générale à long terme de l’holocène. Il est peu significatif quand on le compare aux dix derniers millénaires. Et il est bienvenu. Car nous sortons d’une des périodes les plus froides depuis la dernière glaciation.
Des éléments de mur ont été récemment présentés au public américain. Ces nouveaux prototypes vont être testés dans les mois qui viennent. Donald Trump continue la mise en place de la politique pour laquelle il a été élu, avec plus ou moins de bonheur.
Je vois les relations entre individus et entre groupes d’abord en terme de souveraineté. Chacun est appelé à gouverner sa propre vie, selon le dogme de l’individualisme en vigueur. Chacun est d’abord son propre souverain, ce qui l’installe dans la liberté et la responsabilité individuelle.
Les critiques passées contre Georges W. Bush et Barak Obama ne sont pas restées sans suite. On se souvient de Junior: l’ouragan Katrina l’avait laissé figé; il n’était pas allé sur le terrain, n’avait pas montré d’empathie pour les sinistrés.
Quatre femmes font la manche. Elles portent le costume des musulmanes identitaires: seuls l’ovale de leurs visages est visible. Entourées d’amies et d’enfants en bas âge elles ne parlent pas un mot de français. C’est au marché de Ville-la-Grand près de Genève.