Sous ce titre, France 2 diffusait il y a quelques jours une émission sur les personnes transsexuelles. Le concept fait poser des questions essentielles sur la nature humaine et la constitution de l’identité sexuelle.
Sous ce titre, France 2 diffusait il y a quelques jours une émission sur les personnes transsexuelles. Le concept fait poser des questions essentielles sur la nature humaine et la constitution de l’identité sexuelle.
C’est un délinquant ordinaire: délation, viol de la vie privée et mise en exécution médiatique, le tout sur un fond implicite de morale sexuelle d’avant-guerre. Mais il se dit artiste.
Le mot-dièse #balancetonporc s’est donc retourné contre son autrice. La justice a rappelé que les militantes sont soumises aux mêmes lois que les gens normaux. Sandra Muller a tenté l’esquive à l’annonce de cette condamnation. Elle n’a pas commenté le jugement qui lui donne tort.
Le feuilleton continue à la tête de MeToo. Les kadors, comme d’habitude, attirent toute la lumière sur eux. Nous étions restés à la menace de plainte pénale d’Asia Argento contre Rose McGowan. Sur ce front-là ça se calme, Rose ayant exprimé des excuses à l’actrice italienne.
Hier la RTS diffusait le documentaire « 68, année érotique ». À part les barricades parisiennes et les grandes manifs, de quoi était faite la vague libertaire des années post-68? Des témoignages ont illustré la quête de certains et certaines des acteurs et actrices de la révolution sexuelle.
Des deux il y a un menteur. Ou une menteuse. Qui dit vrai? On ne le saura pas. La prescription est passée. L’affaire ira aux oubliettes, après usage politique. Mais malgré le peu d’éléments de cette plainte, sa nuisance continue.
À quel moment une attitude naturelle devient-elle socialement ou pénalement répréhensible? Combien de fois une sollicitation doit-elle être répétée pour être requalifiée en harcèlement? Faut-il codifier l’entièreté des relations entre femmes et hommes, ou laisser une zone grise d’incertitude et d’ajustement?
Première manifestation de l’après Weinstein, les Golden Globes ont été hier une sorte de grande manifestation féministe et victimaire. Nombre de femmes présentes arboraient une robe noire, selon la consigne. Comme des veuves. Et leur parole s’est élevée haut dans la salle.
J’écrivais en juillet que selon une étude publiée en 2015, les hommes préfèrent les femmes minces. Une révision de cette enquête le confirme. C’est le blog américain Squawker qui relaie la nouvelle en août 2017.
Pourtant on n’en a pas parlé à l’époque. Ni l’ancienne ministre Najat Vallaud Belkacem, ni les députés d’alors. Silence radio. Il a fallu cette remorque publicitaire près d’une université pour qu’elles se rappellent à notre souvenir.
Le Canada vient d’autoriser la mention « X » pour désigner le sexe de personnes qui ne s’identifient ni comme femmes ni comme hommes. Mais existe-t-il vraiment un sexe neutre? Ou la vérité est-elle ailleurs comme dans la série X-Files?
Les comportements sexuels féminins n’ont pas fini de surprendre. C’est un constat, pas un jugement. On reconnaît habituellement aux femmes plus de réserve qu’aux hommes. L’affaire que j’évoque se passe aux États-Unis, dans la petite ville d’Evans, en périphérie d’Augusta en Géorgie.
La journaliste et écrivain Claude Sarraute se lâche. Cette fille d’écrivain (Nathalie Sarraute) et femme de journaliste (Jean-François Revel) fut journaliste au Monde et pensionnaire aux Grosses têtes.
Si les saints de glace remplissent leur contrat annuel en cette mi-mai, un grand froid tombe sur les seins de chair. L’affaire Baupin, étrange écran de fumée au moment du vote de la loi travail, est suivie d’un nouveau sondage. Un sondage édifiant.
On n’a rien inventé: le corps est un moyen d’échange. Et malgré les campagnes destinées à enfermer la sexualité dans un paquet ficelé et surveillé, certaines et certains se fichent des recommandations morales.
Quelques extraits d’un article – amusant ou intéressant, c’est selon – sur les hommes. Ce sont des paroles d’experts. Ceux-ci expliquent les hommes, en particulier ce que les hommes ne disent pas à leur compagne ou leur femme (ici en anglais).
Les garçons sont les garçons. Et qu’on le veuille ou non ils ont quelques spécificités. Dont un sexe différent de celui des filles. Un sexe qui leur assigne paraît-il une toute-puissance.
Le libre choix est roi. En particulier du côté des amours. Choix de la personne, choix de faire ou non l’amour. Le consentement est aujourd’hui largement admis comme marqueur fondamental des relations. Et tant mieux.
Pour la première fois depuis longtemps je trouve un réel fond à un discours féministe. Il s’agit du féminisme évolutionniste, défendu par Peggy Sastre dans sont récent livre « La domination masculine n’existe pas ».
Petite parenthèse dans les débats politiques et environnementaux. C’est l’histoire d’une femme de 36 ans, condamnée en juillet dernier à 30 ans de prison. Quel crime a-t-elle commis? Elle a eu des relations sexuelles avec des garçons âgés de 16 et 17 ans.
Un peu de légèreté ce dimanche. Une étude canadienne réalisée par des chercheurs de l’université d’Alberta affirme que les couples qui partagent les tâches ménagères ont une vie sexuelle plus satisfaisante.
Je classerais Louise Turcotte dans la déraison politique, à l’intersection de la folie personnelle, la dé-connexion du monde sensible, et l’outrance individuelle ou folie psychiatrique.
Polémique en Suisse. L’évêque de Coire, Vitus Huonder, s’est exprimé en citant un passage de la bible, précisément du Lévitique : «Quand un homme couche avec un homme comme on couche avec une femme, ils ont fait tous deux une chose abominable; ils seront punis de mort: leur sang retombera sur eux.»
Je complète mon billet d’hier. J’ai dénoncé avec force 10 ans d’emprisonnement d’un homme sur la base d’une fausse accusation, mais aussi une loi qui accrédite un climat paranoïaque dans les relations entre femmes et hommes. Je m’en suis ouvert dans un commentaire et je crois que cela vaut un billet à part entière.
On ne peut pas dire cougar. C’est un homme. Cougar c’est pour les femmes. Un homme attiré par des personnes beaucoup plus jeunes, ça n’a pas de nom spécial. Ou alors pédophile, mais cela ne s’applique qu’en cas de rapport avec une personne pré-pubère me semble-t-il. Ce qui n’est pas le cas ici.
Ne croyons pas que le cas de Laurence Rossignol soit isolé ni qu’il s’agisse d’une simple maladresse. C’est une posture assumée de retour de «l’ordre moral». C’est le produit de l’idéologie au pouvoir et non une simple erreur d’appréciation. Pour l’anecdote, Patrick Sébastien répondait à la ministre hier soir dans l'émission Touche pas à mon poste: «Je pourrais l’attaquer pour diffamation» (vidéo plus bas).
Susan Patton est citoyenne américaine. Qualifiée d’ultra réac, elle a défrayé récemment la chronique au sujet du viol. Elle a en effet déclaré sur CNN que tous les viols ne sont pas identiques et que certains ne devraient pas être ainsi qualifiés: «Ce ne sont plus des viols avec la menace d'un flingue ou d'un couteau. Il y a viol et viol. Je crois qu'il s'agit surtout de femmes qui ont beaucoup bu et qui couchent avec un homme, une relation qu'elles regrettent le lendemain. Pour moi, ce n'est pas un crime, ce n'est pas un viol. C'est une expérience d'apprentissage».
«Préserver les acquis» est une expression que l’on entend souvent dans le discours des syndicats ou de la gauche en général. Il s'agit alors des acquis sociaux. C’est aussi un mot d’ordre fréquent dans le discours féministe ou écologiste. Préserver, conserver: on est dans une forme de conservatisme.
C’est qu’il faut faire plaisir aux hommes de temps en temps. Quand-même! Un cours a de fellation a donc ouvert en Russie en 2013. Un groupe de jeune femmes charmantes s’exerce avec constance et sérieux. Elles paient 85 euros pour cela!
Elle est agendée pour l’automne sous le nom de Sex Factor. Le casting n’est pas encore fixé: 16 candidats - 8 de chaque sexe - devront s’affronter sous l’oeil d’un jury professionnel. Et sous ceux, nombreux, des internautes qui consommeront les images sur internet.