Elle déploie un marketing assassin. Avec sa candeur et sa voix accrocheuse elle alimente sans complexe le mouvement néo-raciste. Et personne ne trouve trop à y redire. D’aucuns ont été condamnés pour des propos moins graves.
Elle déploie un marketing assassin. Avec sa candeur et sa voix accrocheuse elle alimente sans complexe le mouvement néo-raciste. Et personne ne trouve trop à y redire. D’aucuns ont été condamnés pour des propos moins graves.
Le spectacle de l’assaut contre le Capitole est impressionnant. Mais pas plus que la violence extrême et la dévastation de villes par les néo-fascistes rouges vifs (anti-fa et Black Lives Matter) suite au décès de Georges Floyd. La menace fasciste, s’il y en a une, vient aujourd’hui de l’ultra-gauche.
J’écris ce billet à quelques heures des résultats de l’élection. Je sais qu’il n’est pas politiquement correct de trouver du bon au Donald. Mais je m’en fiche. Je suis saturé du bruit du monde et je veux me tenir hors du tourbillon. Trump ne me fait pas peur, et je trie dans le personnage et dans son programme.
Le racisme est donc de retour. Mais pas là où on l’attendait, soit d’une droite autoritaire et archaïque. On a oublié l’implication de formations de gauche dans l’esclavagisme. On a oublié, ou voulu oublier. Eh bien cela revient.
L’accusation est récurrente: Donald Trump serait raciste. Pour moi être raciste c’est professer clairement une théorie discriminante à l’égard d’un groupe humain. C’est aussi discriminer délibérément ce groupe dans la vie sociale et professionnelle. C’est enfin agir matériellement contre les intérêts du groupe. (Image 1: Musée de l’Homme).
Le roman Les Dix petits nègres noirs blacks d’Agatha Christie a montré la voie. Envisageons ensuite la mise en conformité d’autres titres impies. C’est un devoir moral: dans l’actuelle vague submersive de dégagisme culturel, il faut les modifier afin qu’ils deviennent politiquement corrects.
Il y a les bons noirs. les vrais. Et les autres. Skeleton Joe, le candidat pâle, connaît la différence. Il explique même à un noir ce qu’est être noir: c’est voter pour lui.
Faut-il vraiment s’offusquer de la transformation de Sainte Sophie en mosquée ? Une condamnation internationale a-t-elle du sens ou de l’efficacité ? Je vois les choses autrement. Sainte Sophie n’était pas placée sous un mandat international. Son statut a déjà été modifié dans le passé. Il est de la responsabilité de la Turquie.
Andrea Novicov devrait-il se suicider? Ce serait la meilleure manière de disparaître. Il serait cohérent. Car le directeur du Théâtre de l’Orangerie (TO) déclare une guerre sociale et le dit ouvertement: il veut la chute du mâle blanc. Lui-même étant un mâle blanc, il doit donc rapidement se faire disparaître.
Pamela Anderson a été vilaine. Très vilaine. Les gentils progressistes le lui ont fait savoir sur les rézos. Et qu’a-t-elle a fait, la vilaine Pam, pour être prise à partie âprement par ces justiciers? Du racisme et de l’appropriation culturelle. Pamoinksa!
Dans les manifs lycéennes pour le climat on a vu apparaître de curieuses invitations. Sur de grands panneaux portés par certaines jeunes filles, on pouvait lire quelques slogans provocateurs à l’instar du célèbre et ancien « Faites l’amour pas la guerre » des hippies.
Une nouvelle campagne virale se développe aux États-Unis sous le hashtag #WalkAway. En français: s’en aller, partir. C’est une critique et un désaveu du parti démocrate. Elle a été lancée par un coiffeur styliste gay de New York, Brandon Straka.
Nick Conrad, rappeur noir parisien, vient d’accéder à la notoriété avec une chanson iconoclaste: « PLB». Musicalement c’est une daube. Pas étonnant, c’est du rap.
La plupart des artistes humoristes français ne me font pas rire. Leur art est médiocre. Néanmoins ils ont du grain à moudre: la vie politique d’Hexagonie offre presque quotidiennement de quoi alimenter leur carnet de notes.
Une petite phrase, un mot incertain, une blague scabreuse, et les voilà cloués au pilori numérique. Jetés en pâture dans l’arène médiatique. Normalisés parfois, s’ils se soumettent. Car certains se plient à la phrase rituelle d’excuses, comme l’humoriste Tex. Ce faisant ils donnent le pouvoir à la foule justicière.
Aujourd’hui je propose de suivre un fil. Ce fil débute le 28 juillet 2015 et s’achève temporairement le 3 octobre 2017. On y trouve mélangés des juifs envahisseurs, des islamistes forcément martyrs, et l’habituel féminisme bardé de slogans pavloviens.
Illustration de la guerre des mots et du langage intimidant. Faire taire en insultant ou en amalgamant aux racistes et aux fascistes est le mode de débat préféré d’un certain nombre de décervelés.
Depuis quelques semaines un bateau s’oppose au trafic d’êtres humains de l’Afrique vers l’Europe. Ce bateau est affrété par des « racistes » selon le langage intimidant en vigueur. En réalité on sait que défendre sa culture et ses lois n’a rien de raciste, mais c’est ainsi dans la guerre des mots.
Qu’il est douloureux, le texte d’Addolorata – Ada Marra. Elle provoque et exclut pour marquer sa différence, soit. En réalité nous savons tous et toutes que la Suisse existe: un territoire historique, une administration et une armée, des institutions, une culture politique, des traités internationaux, et des citoyens et citoyennes.
« Ma fille sort avec un noir? Bon, pourvu qu’elle soit heureuse. » Un tel propos serait habituellement qualifié de raciste. C’est vrai quoi, la couleur de peau ne fait pas la valeur personnelle et l’invoquer laisse planer un parfum… comment dit-on? Nauséabond.
Il y avait un manque. Le clitoris est insuffisamment traité dans la plupart des manuels de Sciences Naturelles: dessin incomplet, nom manquant, organe carrément absent. Selon un petit groupe d’enseignants c’est une discrimination.
C’était sur le plateau de L’émission politique Spéciale présidentielle, hier soir jeudi 4 mai sur France 2. Plusieurs personnalités connues ou moins connues s’exprimaient sur le thème de l’identité nationale.
J’aime les paradoxes. Ils ouvrent une porte sur la complexité du monde. Là je suis servi: Macron, sorte de Magic Ken porté par sa Barbie, libéral pur jus, arrive en tête du premier tour en bonne partie grâce aux voix de gauche. Une gauche pourtant très remontée contre le libéralisme.
Interpellée sur son tweet sexiste et raciste (voir mon précédent billet), l’élue socialiste de Rouen a donné sa version sur son blog, sobrement intitulé « Me connaître ». Et elle s’enfonce. Voici son communiqué.
Benoît Hamon, alias Dumbo, aurait dû utiliser ses aérofreins auriculaires pour ralentir les ardeurs de Laura Slimani. Cette élue socialiste et porte-parole du candidat pratique un racisme « cool » et un sexisme décomplexé. Ce qui lui vaut d’être aujourd’hui visée par une plainte pénale.
La réponse est oui si l’on prend une définition extensive du mot. Par exemple celle-ci, extraite du cnrtl.fr et que l’on retrouve presque identique dans d’autres dictionnaires:
« Attitude d’hostilité de principe et de rejet envers une catégorie de personnes. »
Qui ne rejette personne en tant que groupe ou sous-groupe?
La chasse au grand blanc est ouverte. La cible est Donald Trump. Il personnifie l’empire du mâle, un empire dont la restauration est loin d’être acquise selon le journaliste Michel Audétat dans le Matin Dimanche. Trump représenterait la virilité perdue, dite « décomplexée », qualifiée de digne de l’âge des cavernes. Et la virilité est l’attribut du mal/mâle.
Les démocrates n’en ont pas fini de distiller les petites phrases contre l’élu. La dernière en date vient de Bill Clinton. Elle date du 10 décembre et a été publiée le 16. Billy-the-dick était en visite à Pleasantville, non loin de son homeland de Chappaqua.
Valérie Plante est chef du principal parti d’opposition à Montréal, le Projet Montréal, qui dispose de 17 sièges au Municipal. En face l’Équipe Denis Coderre en détient 32. Autour cinq petites listes plus quatre indépendants disposent au total de 17 sièges.
L’Europe est une femme. Une femme qui, grâce à sa douceur et pénétration de pensée, augmentée d’un geste magique, pacifie ses ennemis et les digère. C’est ce que suggère un récent clip de l’Union Européenne.