En avril 2016 déjà une étude parue dans la revue Nature indiquait déjà que la pluviométrie observée au XXe siècle n’avait pas connu les extrêmes annoncés par les modèles des climatologues. Les modélisations, et ceux qui les élaborent, avaient surestimé les effets du réchauffement, en surestimant la réponse de l’atmosphère au forçage radiatif.