Contrôler le langage c’est prendre le pouvoir sur les esprits. En France, des pétroleuses en robe, de Bure, l’ont bien compris et pratiquent l’inclusion façon 1984, par l’inversion du sens: l’inclusion c’est l’exclusion.
Contrôler le langage c’est prendre le pouvoir sur les esprits. En France, des pétroleuses en robe, de Bure, l’ont bien compris et pratiquent l’inclusion façon 1984, par l’inversion du sens: l’inclusion c’est l’exclusion.
Dans les forêts sauvages les arbres ont une « vie sociale » intense. Ils s’entraident et s’envoient des messages au moyen de leurs composés organiques volatiles, véhiculés par l’air comme par un wifi, ou au moyen des racines, reliées entre elles par des kilomètres de filaments mycéliens.
La tentative de coup d’État culturel sur le langage devrait logiquement déclencher un autre mouvement: la masculinisation des mots exclusivement féminins, donc non-inclusifs. Cette anomalie langagière doit être dénoncée devant l’humanité toute entière, femmes et hommes inclus.
Le discours d’intimidation se répand, comme le montrent les deux exemples du jour. La volonté de faire plier les autres à ses propres règles ne connaît pas de limites. C’était bien la peine de développer la lutte anti-autoritaire en Europe pour voir l’autoritarisme revenir par la bande moralisatrice.
Imaginons un instant que la situation soit inversée: le Mexique serait le pays riche, et les États-Unis soient moins développés. Imaginons que tout le sud de ces derniers, en particulier le long de la frontière mexicaine, soit sous la coupe de milices armées au service des cartels de la drogue.
La réponse est oui si l’on prend une définition extensive du mot. Par exemple celle-ci, extraite du cnrtl.fr et que l’on retrouve presque identique dans d’autres dictionnaires:
« Attitude d’hostilité de principe et de rejet envers une catégorie de personnes. »
Qui ne rejette personne en tant que groupe ou sous-groupe?