Les genevois d’en ville décident le 7 mars de l’aménagement futur du quartier de Rive. Actuellement à l’abandon, ou presque, ce n’est plus le lieu de rencontres d’antan.
Les genevois d’en ville décident le 7 mars de l’aménagement futur du quartier de Rive. Actuellement à l’abandon, ou presque, ce n’est plus le lieu de rencontres d’antan.
Septembre Vingt-Vingt (2020) a commencé comme celui de 19-Onze: très chaud. Et il termine comme septembre 19-Douze: très frais. Avec un record de de froid de 108 ans qui tombe: le 27 septembre 1912 la température la plus haute dans la journée était mesurée à seulement 10 degrés.
Andrea Novicov devrait-il se suicider? Ce serait la meilleure manière de disparaître. Il serait cohérent. Car le directeur du Théâtre de l’Orangerie (TO) déclare une guerre sociale et le dit ouvertement: il veut la chute du mâle blanc. Lui-même étant un mâle blanc, il doit donc rapidement se faire disparaître.
Cette prédiction de Guillaume Barazzone date d’il y a un an. Selon Le Dauphiné, le Conseiller administratif de Genève affirmait: « D’ici à 2050, Genève pourra avoir des températures qui sont celles de l’Afrique du Nord aujourd’hui. » Avant de flipper en imaginant le Sahara à Bernex, une petite vérification s’impose.
Malgré un hiver relativement doux et un printemps très précoce, il y a peu de records de température journalière à Genève en 2020. Une petite synthèse des relevés du site meteo-geneve.ch entre janvier et ce jour en dit plus.
Cette pratique s’est installée à la vitesse de l’épidémie. Ce n’est pas encore une tradition, c’est trop récent, mais ça en a le parfum. À tout le moins, on peut déjà parler d’un rituel collectif.
Quelques mots encore sur la volonté de féminiser des noms de rues et des panneaux signalétiques. Je n’ai pas lu de débat public préalable à ces décisions. Or il y a nécessité d’un débat.
À Genève le célèbre et très officiel marronnier de la Treille vient d’annoncer le printemps. Sa première feuille est sortie ce dimanche 8 mars. La sortie de cette feuille est suivie depuis 1818. Le graphique sur deux siècles montre deux tendances contradictoires.
Suite à mon précédent billet j’attendais des données de différentes sources. Résultat: le record de T° du 23 février 1903 n’est pas annoncé battu. Cependant les relevés indiqués par différents sites sont contradictoires. Les différences sont importantes. Je ne les explique pas.
Hier nous avons connu un record de température maximale. Aucun 3 février n’avait été aussi chaud depuis plus de 100 ans. J’en parle parce que c’est la mode des records. Ceux-ci favorisent une proto-pensée instantanée.
Sur leurs blogs trois personnalités politiques genevoises se sont attelées au rituel du moment: poster un message lumineux pour l’an neuf. De mon côté j’ai fait l’effort de les lire et d’y penser. Voili voilou le résultat.
Je rebondis encore une fois sur un billet de la journaliste Anne Cendre, pour une raison très différente de la première. Son texte m’a donné envie de vérifier mes propres présomptions.
Il faudra peut-être créer des espaces réservés aux hommes. Et des émissions radio et télé cryptées rien que pour eux. Et des salles de retrouvailles entre mecs où ils puissent se déstresser et être solidaires quand ils sont agressés.
Juin 2003: le quotidien Le Temps rend compte des simulations du climatologue Martin Beniston. Selon lui: « … à la fin du XXIe siècle, la Suisse aura le climat de la Provence, tandis que celle-ci subira le climat aride actuel du sud de l’Espagne. »
Le futur c’est le passé. Par exemple, replanter des arbres pour les génération futures c’est se donner l’objectif de revenir à des périodes bien antérieures à la nôtre. Et pourquoi pas? N’est-ce pas de notre responsabilité de laisser à nos enfants un monde vivable, comme on dit aujourd’hui?
Sandrine Salerno a très justement proposé une fan zone pour les quatre derniers matches de la Coupe du monde féminine. On se demande seulement pourquoi elle s’est réveillée si tard: une semaine après le début.
Nous avons vu précédemment que la première feuille du célèbre marronnier genevois semble prouver la poussée chaude de l’atmosphère, par son éclosion de plus en plus précoce depuis deux cents ans.
Le crédit d’étude pour la (peut-être future) traversée du lac a donc été voté par une majorité de députés genevois. Avec un amendement proposé par deux députées PLR: « Et pourquoi pas prévoir de donner un nom féminin aux infrastructures routières liées à la traversée? »
Depuis deux siècle la première feuille du marronnier de la vieille-ville de Genève annonce le printemps. C’est une tradition souriante. Les dates sont consignées dans un registre officiel et sont annoncées publiquement.
La loi sur la laïcité de l’État, en votation à Genève, n’est pas discriminatoire dans le texte. Elle ne vise pas explicitement les personnes de confession musulmane, sauf sur un point: le visage doit être visible.
Dans plusieurs pays dont la Suisse, des collégiens et étudiants sécheront les cours vendredi. Ils veulent faire pression sur les politiciens. Ceux-ci les trahissent, selon leurs propos. Puisqu’ils n’iront pas aux cours vendredi, je propose quelques questions qu’ils auront le temps de méditer.
Épisode violent au bord du lac dans la nuit de vendredi à samedi. On ne connaît pas les motivations des agresseurs. Ils sont dans la nature. On pense un peu au film Orange Mécanique. La Tribune de Genève a relaté les faits dans son édition de lundi.
Je connaissais l’histoire de l’homme invisible. Je découvre peu à peu celle de la femme invisible. Même la TdG s’y met: dans un édito du 10 novembre le journaliste culinaire Jérôme Estèbe se demandait Où sont les femmes.
Le sexisme est un des derniers espaces d’humour. Je l’écris vite avant d’être voué aux gémonies de l’armée des 1000 singes. Car la société « hygiéniste » en cours d’instauration reprend un des codes du passé: ignorer ou faire taire les voix originales ou simplement différentes.
Si l’agression en vieille ville de Genève est choquante et insupportable, la suite qui lui est faite crée un malaise. Avant même de connaître les détails de cette bagarre, où cinq femmes ont été blessées (dont une une dans le coma), le discours victimaire est mis en avant.
À Genève on la croyait maillon faible du Conseil d’État sortant. Mais non, Anne Emery-Torracinta ne chute pas. Tant mieux. Le maillon faible, c’est Luc Barthassat. Le transport amoureux entre le corps du ministre et le corps électoral est asthmatique. On dirait le pont du Mont-Blanc vers 18 heures: ça bouchonne et c’est pas du champagne.
Le parti socialiste genevois n’applique pas à lui-même sa propre règle idéologique. En l’occurrence, la parité femmes-hommes, soit l’égalité numérique dans les représentations politiques. À gauche ce fut pourtant un cheval de bataille. Les règles de la parité devaient permettre de renforcer la représentation féminine dans les assemblées.
Deux sûres, que j’ai oubliées dans mon précédent billet. Et une troisième qui ne se montre pas encore, que je n’ai vue ni sur le site ni dans la rue, mais dont je pense avoir trouvé la trace.
Coup d’oeil (taquin) aux affiches électorales dans les rues de Genève. Tous ces visages qui me veulent du bien! Vivrais-je, à l’insu de mon plein gré, dans la République Heureuse d’un conte de fées? Ils me regardent droit dans les yeux, me sourient. Ils me racolent un peu aussi (normal, il faut attirer et promettre).
J’ai cette chance: mon âme d’enfant ne s’étant jamais endormie je n’ai pas besoin de la réveiller sur commande. Je dis ça, parce que c’est l’effet que les géantes semblent avoir eu sur un blogueur voisin, dont le billet m’a motivé à voir le spectacle. Son titre: Merci aux géantes de nous élever !