Le racisme est donc de retour. Mais pas là où on l’attendait, soit d’une droite autoritaire et archaïque. On a oublié l’implication de formations de gauche dans l’esclavagisme. On a oublié, ou voulu oublier. Eh bien cela revient.
Le racisme est donc de retour. Mais pas là où on l’attendait, soit d’une droite autoritaire et archaïque. On a oublié l’implication de formations de gauche dans l’esclavagisme. On a oublié, ou voulu oublier. Eh bien cela revient.
Lu ce matin une chronique du Journal de Montréal signée Richard Martineau. Un esprit impertinent et très pertinent à la fois. Il commente l’action d’éclat de Madame la Maire d’un arrondissement de Montréal, Sue Montgomery.
La loi sur la laïcité de l’État, en votation à Genève, n’est pas discriminatoire dans le texte. Elle ne vise pas explicitement les personnes de confession musulmane, sauf sur un point: le visage doit être visible.
Depuis des années différents organismes officiels avancent des chiffres pour tenter de quantifier l’importance et la persistance de cette situation dans le secteur privé. Quel est le bon chiffre: 40 %, 32 %, 25 %, 19 %, 7 %, ou moins?
L’année 2017 est la moins meurtrière depuis 14 ans pour les journalistes professionnels. Selon Reporters sans Frontières 65 d’entre eux sont tombés sur le terrain, principalement en Syrie et au Mexique. 65, dont…
Le 19:30 de la télévision romande commentait hier les cent ans de la section femmes du Parti socialiste suisse. Avec une interview de la Conseillère fédérale Simonetta Sommaruga, et des chiffres sur la possible discrimination salariale vécue par les suissesses (vidéo sous le billet).
La Procréation médicale assistée n’est un droit pour personne. C’est un moyen pour que les couples, dont l’un des partenaires est stérile, puissent procréer. Or procréer n’est pas un droit, c’est un fait de nature.
En Australie Matilda est un prénom peu fréquent. Pourquoi l’équipe nationale de foot féminin l’a-t-elle pris comme surnom? En mémoire d’une vieille chanson populaire du bush australien, déclinée par de nombreux artistes, Waltzing Matilda. Une chanson du XIXe siècle, aussi importante que l’hymne national.
Je suis étonné comme beaucoup de ce qu’un homme si mince en expérience puisse être considéré comme présidentiable. Je cherche encore un axe central dans son programme qui le rende identifiable.
Valérie Plante est chef du principal parti d’opposition à Montréal, le Projet Montréal, qui dispose de 17 sièges au Municipal. En face l’Équipe Denis Coderre en détient 32. Autour cinq petites listes plus quatre indépendants disposent au total de 17 sièges.
Les lois sur l’égalité professionnelle offrent parfois des variations selon le sexe. Car la loi tient compte des caractéristiques naturelles des sexes. Ce qui produit une discrimination, si évidente que personne ne la conteste.
Tout avait pourtant bien commencé. Nicola avait trouvé un job chez PwC en Grande-Bretagne. PwC: une entreprise de conseils et d’audits. Une maison qui a entre autres travaillé avec l’UBS dans le cadre d’une étude sur la répartition de la richesse mondiale.
« La non-mixité choisie, ce n’est pas pour se retrouver entre femmes mais entre personnes socialement dominées et opprimées. Il faut des espaces pour que les dominés puissent prendre conscience ensemble des pratiques d’oppression et s’exprimer, sans la présence des dominants. »
La discrimination n’a pas besoin d’être démontrée rationnellement, un simple ressenti personnel suffit. Le ressenti personnel comme élément de preuve est de plus en plus souvent mentionné dans la presse. Comme le montre l’exemple suivant, c’est abusif et non relevant.
En deuxième partie je propose d’aller plus loin. Nombre de services ou produits apparemment identiques sont tarifés différemment selon qu’ils sont destinés à des femmes ou à des hommes? Il y a encore d’autres aspects à prendre en compte en plus de ceux déjà abordés précédemment.
Du moins n’en parle-t-on pas comme d’un délit. On ne voit pas le Parquet intervenir, ni les ligues de défenses de la superégalité oussque tout le monde est pareil et radieux. La volonté de fabriquer le meilleur des mondes semble sélective.
Je reviens sur un commentaire analysé sur le blog de Catherine Thobellem. Elle relève l’intervention d’une personne dans Le Matin, à propos d’une situation non documentée. Il s’agit, semble-t-il, d’une personne qui s’adresse à une autre. Cette intervention est la suivante:
La finale de la Coupe du monde de football féminin a connu un fort succès médiatique aux Etats-Unis. C’est le match de foot le plus regardé à la télévision américaine, devant la finale Allemagne-Argentine de 2014. Trois raisons à cela.
Voici deux pistes complémentaires au décryptage commencé hier. D'une part il est possible que la forme épicène (doublement sexuée) du langage soit déjà en perte de vitesse. Quant à la grammaire française, la qualifier de sexiste est un mauvais procès d’intention.
Ce clip illustre la moderne confusion du sens. En voulant discriminer sans discriminer il annule son propre projet. Prisonniers de la politisation du langage, ses auteurs ont livré un produit très étrange.
Mobilisation mondiale hier. Un monde fou, digne du 11 janvier. Enfin pas tout-à-fait. Seulement 40 manifestantes à Paris. Une poignée d’autres ailleurs. Peu de chiffres disponibles sur l’ensemble du monde. Par crainte de la honte due à cette mobilisation extrêmement faible? Il y a bien eu l’Empire State Building illuminé de rose pour les lycéennes et de manière générale contre la violence faite aux femmes, et Michelle Obama faisant son numéro. Pas de quoi fouetter une chatte.
Les femmes et les minorités seraient des sous-espèces de l’humanité. En tant que sous-espèces identifiées et reconnues du genre humain, elles bénéficient de programmes de protection spécifique. C’est d’ailleurs l’existence de ces programmes spécifiques qui démontre qu’elles ne sont plus considérées comme les autres humains. Cela fait voler en éclat le concept d’égalité, et laisse à penser que le mythe du sexe faible reste au fond un bon argument de vente. Ou qu’il est une réalité et que les hommes seraient bien plus indépendants et libres qu’elles.
Selon un sondage Ifop commandé par l’Organisation Internationale du Travail (OIT) et par le Défenseur des droits, en France de nombreuses personnes interrogées estiment avoir été discriminées à l’embauche.
Lui s’habille toujours pareil. Sombre et sobre. Bleu foncé. Le même costume pendant un an. Exactement le même. Il n’a changé que de chemise et de cravate. Il s’appelle Karl Stefanovic. Il est co-présentateur de l’émission «Today» sur la télévision australienne Channel Nine.
Pour donner suite au débat et sur la notion de discrimination, je propose ici un éclairage juridique. Je rappelle d’abord que cette notion a un sens positif et un sens négatif. De nos jours le sens négatif prévaut dans l’usage médiatique et politique.
- Chéri, tu peux me prêter ton mascara?
A la cuisine, devant la cafetière fumante, il n’entend pas. Elle insiste et hausse le ton.
- Chéri, j’aimerais que tu me prêtes ton mascara.
Cette fois il a entendu. Il ne répond pas.
- Chéri, tu m’entends?
Silence.
C’est une jeune femme issue de l’immigration. Peau mate, cheveux noirs. Son nom? Sihame Assbague. Son job? «Militante associative». C’est une autre manière de dire «politiquement radicale». Elle a exprimé sa posture raciste en prime time sur France 2 jeudi soir (extrait vidéo ci-dessous).
Dans une société qui n’a plus d’idéal et d’objectifs collectifs, où la quête du sens n’est plus que l’addition des désirs individuels, comment occuper le temps entre la naissance et la mort? Par un ensemble d’activités que l’on peut nommer globalement «divertissement».
Avant de faire un aveu terrible, cette information: en France une initiative lycéenne a été reprise par l’Académie de Nantes et par le Ministère de l’Education nationale. Elle invite les lycéens à porter une jupe et du rouge à lèvres le 16 mai, pour, selon eux, «lutter contre les discriminations sexistes».
La «construction sociale» est le nouveau monstre des temps modernes. Tel un Leviathan ayant traversé les âges pour manger les enfants et contraindre les femmes à plaire, il sévit toujours lors des jeux olympiques et des compétitions sportives. Analyse d’une thèse féministe, publiée dans Le Monde en octobre 2000 sous la plume de Catherine Louveau.