C’est une constante sur toute la planète: les femmes ont une taille moyenne moins haute que celle des hommes. S’il y a des exceptions et de grandes femmes, les hommes ont en moyenne 15 centimètres de plus.
C’est une constante sur toute la planète: les femmes ont une taille moyenne moins haute que celle des hommes. S’il y a des exceptions et de grandes femmes, les hommes ont en moyenne 15 centimètres de plus.
En Suède des féministes ont lancé une campagne inattendue. Leur sympathie pour les migrants est particulière puisqu’elles demandent aux hommes européens: « S’il vous plaît ne nous protégez pas si nous sommes violées par des immigrants ».
Trois femmes pour parler de Noël et de nos racines: Joana, Léa, Natacha. Noël est une des fêtes fondatrices de la culture européenne. L’occasion de dire quelques mots à propos de racines. Les racines? Là d’où l’on vient, par où l’on a pris souche.
Imaginons: nous sommes un groupe de copains qui jouent au foot dans un parc. Nous avons posé nos marques de but. Un autre groupe vient alors sur l’espace que nous occupons. Que se passe-t-il? Cela grince. C’est comme ça, à l’échelle d’un pays comme d’un groupe de copains. Est-ce du racisme?
Les communautés humaines se construisent avec logique et prudence. Comme les enfants elles commencent avec le proche: ce qui est près de soi, avec soi, physiquement. Pour l’enfant ce sont les parents, la fratrie, ou ce qui les remplace s’il est orphelin.
Polémique en Suisse. L’évêque de Coire, Vitus Huonder, s’est exprimé en citant un passage de la bible, précisément du Lévitique : «Quand un homme couche avec un homme comme on couche avec une femme, ils ont fait tous deux une chose abominable; ils seront punis de mort: leur sang retombera sur eux.»
L’écologie sera-t-elle le dernier rempart de la biologie? Parce que les femmes et les hommes sont différents et que cela modifie les comportements sociaux. Une étude vient de le démontrer.
Laïcité et ethnicité roulent les frenchies dans la farine. L'un des combles du racisme serait de tenir des statistiques en lien avec l’origine des personnes. Sauf que les mêmes personnes font elles-mêmes de l’ethnique sans complexe.
Articles dans la presse, débat sur la RTS 1ère: le nombre de postulantes au corps de police dépasse celui des candidats hommes, en particulier dans le canton de Neuchâtel. S’agit-il d’une féminisation et faut-il en penser quelque chose?
«Préserver les acquis» est une expression que l’on entend souvent dans le discours des syndicats ou de la gauche en général. Il s'agit alors des acquis sociaux. C’est aussi un mot d’ordre fréquent dans le discours féministe ou écologiste. Préserver, conserver: on est dans une forme de conservatisme.
La «construction sociale» est le nouveau monstre des temps modernes. Tel un Leviathan ayant traversé les âges pour manger les enfants et contraindre les femmes à plaire, il sévit toujours lors des jeux olympiques et des compétitions sportives. Analyse d’une thèse féministe, publiée dans Le Monde en octobre 2000 sous la plume de Catherine Louveau.
Le mouvement continue: la ministre responsable de l’immigration du Québec, Diane de Courcy, membre du parti québecois (souverainiste), a déposé cette semaine un projet de loi reformulant les conditions de l’immigration dans la province.
«Faut-il encore équiper notre ville de toilettes publiques?» questionnait hier le blog du PDC carougeois. La municipalité de Brighton, elle, pense que oui, avec une innovation: elle met en place des toilettes «neutres» à travers la ville.
Le débat sur la burqa saute par-dessus les clivages politiques habituels. C’est tant mieux. Il est temps que l’Europe en finisse avec ses imageries stéréotypées des classes sociales figées, des rôles sociaux, et de son manichéisme social de bazar. La burqa est stigmatisée au nom de l’égalité des sexes. Soit. On peut alors se demander comment des féministes, qui prônent l’indifférenciation totale des sexes et de leurs stéréotypes, défendent encore les différenciations sociales héritées du XIXe siècle (droite-gauche, progressistes-réactionnaires).
Instaurer une société multiculturelle est l’objectif de certains philosophes et hommes ou femmes politiques. D’autres, comme Elisabeth Badinter, sont opposés à ce concept. Faut-il ouvrir la culture d’un pays à toutes les autres cultures, avec ce que cela implique, ou faut-il repenser à la baisse ce concept?
L’expression fait polémique. D’un côté elle est revendiquée, de l’autre elle est taxée de racisme. Voyons cela sans stigmatisation.
Un mot de Charly Schwarz sur sa page Facebook m’a inspiré un commentaire. Je le complète et en fais ici un billet. Le propos de Charly était:
«Le fait de mettre l'accent sur les distinctions de statuts, de fonctions, de diplômes perpétue les cloisonnements et maintiennent des rapports de subordination qui suscitent le plus souvent d'avantage de rejet que de respect.»
L’égalité de traitement devant la loi permet d’atténuer les inégalités naturelles ou sociales. Elle n’empêche pas que fleurissent des inégalités de situations, de compétences et de pouvoir. Ni même que des hiérarchies temporaires ou durables continuent d’exister.
Le débat périphérique sur l’homoparentalité tourne autour de la question suivante: discuter de ce projet de société est-il ou non une marque de rejet à l'égard des personnes homosexuelles? Est-ce une forme de discrimination ou de racisme, comme on l’entend régulièrement reprocher?
«Vous venez d'avoir 18 ans. Vous avez décidé d'en finir avec la vie. Votre décision semble irrévocable. Vous décidez dans un dernier élan de livrer les raisons de votre geste. En dressant votre autoportrait, vous décrirez tout le dégoût que vous avez de vous-même. Votre texte retracera quelques événements de votre vie à l'origine de ce sentiment.»
Les tenants de l’anti-racisme n’y avaient pas pensé: la xénophobie a une petite soeur, tout aussi problématique mais bien plus pernicieuse car masquée sous le costume des bons sentiments. C’est la xénophilie.
Alors que la majorité des hommes ne voit pas encore ce qui se met en place sur son dos, Madame le Ministre français des droits des femmes annonce un plan d’enfer pour éradiquer le sexisme et la violence faite aux femmes. Le gouvernement a suivi un séminaire sous la houlette d’un ministre ouvertement communautariste. Mais si le clan de Madame Vallaud-Belkacem gagne temporairement les deux batailles de la politique et des médias, elle n’en fait pas moins fausse route, et ces victoires cachent mal un naufrage idéologique. Je suis d’ailleurs étonné qu’il n’y ait pas plus de voix pour soulever les incohérences de la situation.
- Est-ce un homme ou une femme qui postule dans notre entreprise?
- C’est une femme.
- Payez-la 27% de moins!
Est-ce vraiment ainsi que les choses se passent? Certainement pas. Voyons cela.
Les Femen confirment les différences hommes-femmes: elles sont tombées sur un os masculin. L’os - ou les os - de quelques manifestants hommes dimanche à Paris. Elles ont agressé le cortège puis se sont faites agresser en retour. Et se sont enfuies, abandonnant leur superbe médiatique perdue dans la fumée. Mais pourquoi n’ont-elles rien vu venir?
«Les troubles d'apprentissage, les difficultés de langage (comme la dyslexie et le bégaiement), le déficit d'attention avec ou sans hyperactivité et le syndrome d'Asperger, cette forme légère d'autisme, sont quatre à dix fois plus courants chez les garçons que chez les filles.»
Il est annoncé comme le premier homme mâle. La légende de la Genèse lui confère un rôle symbolique de modèle car le premier exemple conditionne tous les autres. Cela signifie que nous avons tous une trace d’Adam en nous. Les hommes et mâles bien sûr, mais les femmes également car porteuses elles aussi d’une partie de l’énergie de l’homme.
Une étude norvégienne portant sur 15’000 personnes établit un constat surprenant: Les couples qui partagent le plus les activités de la maison sont aussi ceux qui divorcent le plus. Plus les hommes sont impliqués plus le taux augmente. Ce de manière conséquente: 50% de divorces en plus que dans les autres couples.
Markus Theunert, ex-Délégué aux questions masculines du Bureau zurichois de l’égalité, posait hier un principe: «La lutte des sexes n’est pas envisageable, car elle ne peut être gagnée. Il n’existe tout simplement aucune perspective stratégique en dehors de la coexistence et de la coopération entre hommes et femmes.» Ce préalable devrait figurer en tête de toute déclaration d’intention sur l’égalité des sexes.
Il y a dans la symétrie quelque chose qui saisit, quelque chose d’hypnotique. Voir deux éléments semblables et inversés éveille une résonance très intime. Peut-être notre cerveau est-il physiologiquement préparé à cette résonance par les deux hémisphères qui sont eux-mêmes symétriques.
Depuis Simone de Beauvoir, une lecture productiviste et unisexe du genre humain s’est développée. Il paraît qu’on ne naît pas femme (ni homme), on le devient. Notre biologie n’aurait rien à voir dans la définition de notre masculinité et de notre féminité. Le corps et la culture sont découplés, dissociés. Mais pourquoi donc avoir produit une théorie aussi extrême et désincarnée? Et pourquoi avoir continué à la développer alors qu’elle n’est pas démontrée?