Stress et dépression altèrent le cerveau en faisant diminuer le nombre et la qualité des connexions des neurones. Une étude réalisée sur des souris a vu ces connexions se réparer après traitement à la psilocybine.
Stress et dépression altèrent le cerveau en faisant diminuer le nombre et la qualité des connexions des neurones. Une étude réalisée sur des souris a vu ces connexions se réparer après traitement à la psilocybine.
Fin de la brève période hivernale. Pas de record cette semaine. Quelques gelées matinales, une bise supportable, et déjà le thermomètre grimpe l’après-midi. Point de comparaison: à Genève, les derniers coups de froid vifs de fin mars, du 22 au 30, datent des années 1901, 1915, 1962, 1971. Les minima oscillaient alors entre -4° et -6,1°.
Pas de panique. Think different. Imaginez une immense autoroute aérienne. Un ruban de vents forts du Québec à l’Oural. C’est le courant jet – le jet stream. Coincé entre le grand froid polaire et les remontées chaudes il file à grande vitesse, trop horizontal pour alterner le froid et le chaud. C’est ce que l’on nomme un flux zonal à courbure dépressionnaire, « donnant un temps venté, assez doux et très humide ».
C’était il y a 51 ans. Après un mois d’octobre très pluvieux, la région de Florence et le bassin du fleuve Arno reçoivent des précipitations hors normes. On compte par endroit jusqu’à 700 mm de pluie en 24 à 28 heures.
Deux études récentes laissent à penser que la consultation de Facebook est déprimante pour une partie des utilisateurs. Une étude américaine sur 82 jeune adultes montrerait que le fait de consulter son profil sur le site conduit à perdre de l’estime de soi, à une augmentation des frustrations et de l’agressivité.
Ouais, ouais, on sait: c’est bon pour le poisson. Il reste frais sur l’étal du marchand. Pas non plus de risque de mouches sur la viande. Les mouches c’est quand il fait chaud.
- Quoi, m’sieur Tintouin?
- Chaud, madame Michu.
Il y a des jours où on aimerait être un oiseau. Voler à hauteur de montagne, waow. Tiens, à propos des oiseaux: il fallait les voir hier. Tous alignés côte à côte sur les branches d’un arbre. Les ailes sur les hanches. Furieux. Il faut les comprendre.
- Bon chang de bon choir, m’âme Michu. Y jarrivent!
- Qui ça m’sieur Tintouin? Les chinois? Le baril jaune? J’savions point qu’ils avaient du pétrole ceux-là!
- Non, non, pas les chinois.
- Bah, vous avez dit Chang, j’ai lu Tintin moi. Le Lotus Bleu, Chang quoi.
Ce n’est pas la patate. Pas étonnant qu’il n’ait pas la frite. Il est presque plat. On peut faire des pompes mais cela ne va pas le regonfler.
L’inconnu de l’ouest se fait désirer.
C’est beau les lundis de septembre. Sauf qu’on est le 2 juillet. Et normalement en juillet c’est l’été. C’est écrit sur le calendrier. Si c’est écrit c’est que c’est vrai. Ceux qui font les calendriers ne sont pas spécialement des humoristes. Imaginez qu’ils sautent des jours. Ou qu’ils en rajoutent. Ça se peut pas.
Elle approche de ce grand continent aux côtes déchirées, l’Europe, et de ces îles porteuses de rêves et de légendes. Elle sera bientôt sur les landes et les montagnes de l’Eire, pays aux musiques envoûtantes. Elle apporte avec elle son univers de brume.
- Madame Michu, ça commence à grogner.
- Koi ki nya, m’sieur Tintouin? Vous rousse pétez encore?
- Attendez, attendez, vous avez vu ça? Il y en a un là-haut qui a oublié de fermer le robinet!
La grosse patate s’en va. Elle fiche le camp vers le sud-est et la méditerranée. La grosse patate c’est Gulliver. L’anticyclone costaud qui se baladait sur nos têtes depuis quelques temps.
Ah mais que voilà un bon moyen de diminuer les coûts de la santé! C’est le site de rencontres extra-conjugales Gleeden qui l’affirme: «Contrairement à l’antidépresseur, l’amant ne coûte rien à la sécu.» Ces gens-là sont des philanthropes, des bienfaiteurs de l’humanité qui se battent au corps à corps pour alléger nos bourses...
Si le paysage glacé des bords du lac vous a plu c’est le dernier moment pour vous en mettre plein la vue. Oh, la glace mettra des jours ou des semaines pour fondre entièrement. Mais les décorations suspendues aux branches ou collées aux barrières perdront leurs étonnants moulages et tomberont - au sol autant que dans l’oubli.
Je me souviens de ce film, interprété dans le rôle principal par l’admirable Nicole Garcia. Il était tiré d’un livre de Marie Cardinal. Je me souviens de cette longue errance et du chemin fait par cette femme pour arriver d’abord à reconnaître son mal-être sans plus aucune justification.
On était prévenus. Et on n’est pas déçus. Les bourrasques ont préparé la tempête Joachim dès cette nuit, et ce matin on a eu droit aux longues montées en puissances couronnée de décharges rageuses.
Tout va changer. Ou presque. C’est dans l’air. Et ce n’est pas une image: c’est vraiment dans l’air. Tout va changer, c’est inéluctable. C’est un beau mot, inéluctable. Beau et terrible à la fois puis qu’il signifie que cela ne sert à rien de vouloir autre chose, mais aussi que nous sommes impuissants à modifier certains événements.
Un garçon de huit habitant le Doubs ans a été retrouvé mort dans sa chambre, pendu à un crochet de lustre. Selon la police il s’agit vraisemblablement d’un suicide. L’enfant venait d’être réprimandé par son père pour des chamailleries.
Quelques jours de redoux après une première période de froid, en général vers fin octobre ou début novembre: nous y sommes. Il pourrait même y avoir deux ou trois degrés de plus. Mais ne boudons pas notre plaisir.
Un dimanche pas comme les autres. La ville est déserte hors du personnel de secours prêt à intervenir. New-York, ville-fantôme en ce 28 août 2011. Des quartiers sont évacués. Des millions d’habitants restent enfermés chez eux, volets clos, réserve de nourriture à la cuisine.
La houle australe attendue jusqu’à demain jeudi sur les côtes sud et ouest de l’île de La Réunion pourrait atteindre, voire dépasser en intensité, l’épisode extrême du 13 mai 2007: une vague de 11,3 mètres avait déferlé sur le littoral, causant des morts et d’importants dégâts dans les ports exposés.
La météo nous les a promis. Une petite averse sur le coup de 13 heures 30 a surtout donné l’impression de s’être rapprochés de l’étuve équatoriale. Humidité 95%, chaleur identique. Pouffe pouffe pouffe...
Tout le monde ne peut pas s’appeler Sally. Comment saurait-on à qui on parle? On crierait de loin: «Hé! Sally!» Et tout le monde dans la rue se retournerait et dirait: «Oui?»
Nul ne connaît non plus son destin. Pas même Harry. Lui que l’on disait assez proche de Pippa («The» Pippa, une sans-culotte à la cour d’Angleterre), le voilà à la colle ou presque avec Gertraud. Enfin, pas le même Harry. Un autre. Mais qu’a-t-elle donc de si attractif, cette Gertraud?
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Non, pas la danse du balai: le coup de balai. Hop, un grand coup du nord au sud et envolée la grosse frayeur chaleur. D’ici ce soir la région Rhône-Alpes perd jusqu’à 10°. Mazette! Ça va rafraîchir les ardeurs, et heureusement parce qu’on en apprend de belles ce matin!
C’est prévisible: la tension est trop grande. C’en est décoiffant. Viktor pousse, Ariane résiste, ça va craquer! Déjà on voit bien qu’ils ne parlent pas la même langue. Ariane, c’est l’Allemagne et la Pologne, alors que Viktor, prétendument centré sur l’Angleterre, fait en réalité de l’importation avec l’Espagne. Quant à Dick, il gratte sa guitare sans parapluie.
Si les grenouilles parlaient, que diraient-elles de ce dimanche toujours chaud et sec? Elles monteraient à l’échelle pour voir au loin si des nuages goutteux s’approchent, Elle mettraient un doigt en l’air pour sentir d’où vient le vent et s’il est chargé d’un peu d’humidité.
A croire que ce printemps un peu fou lui est tombé sur la tête. Peggy nous envoie la purée. Pas Peggy la cochonne, naaaan. Elle saurait pas faire ça. Pas non plus la Peggy du carré ViiP, le truc-zéro-neurone arrêté par TF1: il n’y avait pas de Peggy au Carré ViiP. D’ailleurs il n’y avait rien au Carré ViiP.
En 2005 un psychologue avait fait une étude pour déterminer quel était le jour le plus déprimant de l’année. Il avait fait une équation mélangeant la météo, le temps écoulé depuis Noël, le degré de motivation, bref du très scientifique, évidemment...
Benjamin, drôle de nom pour le genre féminin. Et Arno! Mais qu’est-ce qui leur a pris? Normalement une dépression reçoit un prénom de fille, un anticyclone un prénom de garçon. Bon, zarbi. Vous remarquerez que l’on a recommencé avec la lettre A, début d’année oblige.