Rien à voir avec la chanson de feu Johnny « ah que » Hallyday, Noir c’est noir (il n’y a plus d’espoir). Les croque-morts ne sont pas désespérés. Ils sont « chargés », comme le titre le Matin dimanche d’hier. Chargés? Vous avez dit chargés?
Rien à voir avec la chanson de feu Johnny « ah que » Hallyday, Noir c’est noir (il n’y a plus d’espoir). Les croque-morts ne sont pas désespérés. Ils sont « chargés », comme le titre le Matin dimanche d’hier. Chargés? Vous avez dit chargés?
Le 16 juin dernier Jean-Dominique Michel (JDM) publiait un texte écrit par un jeune homme de 27 ans. Le titre, Coronacolère, donnait un aperçu du contenu. Je n’ai pas été déçu. Je commente aujourd’hui des extraits ce texte et de sa présentation.
Ce pourrait être la phrase de l’année. Elle fait un tabac. Dans la rue, au supermarkette, à la télé, elle revient en boucle dès qu’une conversation sort de la météo.
Je parlais précédemment de l’étude publiée par le Lancet, et rétractée depuis. Une autre étude presque identique a été publiée, puis rétractée elle aussi, dans le magazine New England Journal of Medecine.
C’est le premier, Raoult! Ça n’est pas un effet du calendrier, il est le meilleur. Je nuance: lui-même se place modestement dans les dix premiers. L’humilité c’est de savoir s’évaluer à sa juste mesure, ni plus haut, ni plus bas.
Fallait-il avouer dès le début que la France manquait de masques? Je le pense. Tant pis pour les reproches qui s’en seraient suivis, car l’impréparation, la mauvaise gestion, la surdité ministérielle aux alertes, pourraient désormais faire plus de mal au gouvernement qu’un aveu précoce ne l’aurait fait il y a trois mois.
Idole des ménagères humanistes de plus de 50 ans, le neuropsychiatre prophétise de nouveaux lendemains à inventer, après le malheur de la pandémie. Il tient sermon dans une interview accordée le 18 avril à RFI.
Cette pratique s’est installée à la vitesse de l’épidémie. Ce n’est pas encore une tradition, c’est trop récent, mais ça en a le parfum. À tout le moins, on peut déjà parler d’un rituel collectif.
Cela ressemble à la guerre, telle que ma mère la racontait. Des rues vides, un couvre-feu, les italiens interdits de sortir de chez eux sous peine d’être amendés ou emprisonnés.