Aujourd’hui je mets en avant un couple. Un de ces couples de fous merveilleux, engagés corps et âme dans une passion commune: grimper les murs. Un duo des cimes qui arpente les pistes verticales depuis 20 ans.
Aujourd’hui je mets en avant un couple. Un de ces couples de fous merveilleux, engagés corps et âme dans une passion commune: grimper les murs. Un duo des cimes qui arpente les pistes verticales depuis 20 ans.
Le peintre illustre ici l’envers du couple. Pessimiste assumé, les relations femmes-hommes ne trouvent guère grâce à ses yeux. Pour lui la femme est une menace autant qu’un objet de culte. Il la redoute autant qu’il la désire. Mais « Aucune paix, aucune harmonie ne saurait s’instaurer dans les rapports entre l’homme et la femme. »
Les enfants trinquent. C’est Kramer contre Kramer. Ou presque, la différence étant que Sandrine et Valérie sont homosexuelles. Mais les enfants sont identiquement utilisés comme des armes. Ce cas fait beaucoup pour la reconnaissance du mariage gay. Il montre qu’homos ou hétéros, nous pouvons être pareils. Dans le pire en tous les cas.
« L’enquête (publiée hier, ndlr) révèle quelques points inattendus. La violence physique serait plus souvent le fait des filles que des garçons. Elles sont 1 sur 5 à avoir déjà giflé, poussé ou battu leur partenaire, alors que la proportion est de 1 sur 8 chez les jeunes hommes. »
Ce billet en deux parties m’est inspiré par deux interventions de femmes à propos de la difficile entente entre les sexes. L’une demandait, sous un précédent billet, à ce que les hommes luttent avec les femmes contre les déviants. L’autre voudrait éduquer les hommes.
Les jours paressent déjà dans cette moiteur qui vient du sud. On dirait l’été. C’est l’été: en météo il débute le 1er juin. Pourtant juin n’est pas toujours si chaud, ni ensoleillé. En fin d’après-midi la terre remercie le ciel, laissant monter ses multiples odeurs dans une brise thermique agréable.
Un peu de légèreté mais pas de l’anodin. Cela se passe à Rochefort en Charente-Maritime, pas loin de La Rochelle. Une petite ville charmante de 24’000 habitants. C’est le quotidien Sud-Ouest qui relate le fait divers.
Dénoncer le sexisme de manière unilatérale est à la mode. Cela fait partie de stratégies d’encerclement et de domination des hommes. Dernier exemple en date, les propos d’une directrice de recherche bernoise.
Terminer l’année avec un sourire? Oui, rien ne nous oblige à faire la tête. Au besoin il y aura 365 nouveaux jours pour cela en 2017. Voici donc un petit texte amusant repris du net. Il s’agit du journal d’une femme et de celui d’un homme.
Quelques extraits d’un article – amusant ou intéressant, c’est selon – sur les hommes. Ce sont des paroles d’experts. Ceux-ci expliquent les hommes, en particulier ce que les hommes ne disent pas à leur compagne ou leur femme (ici en anglais).
Une étude réalisée par des chercheurs de trois universités des Etats-Unis le dit: les hommes sont attirés par les femmes intelligentes mais ils en ont peur. Ciel! Où est passée la crâne audace masculine?
Chaque société se donne les règles qu’elle veut et les fait évoluer. Il y a des standards communs, par exemple l’esclavage est aujourd’hui rejeté par la plupart des sociétés. L’auto-détermination et la liberté individuelle sont des règles qui essaiment. Mais le désaccord sur certaines évolution doit rester possible sans anathème.
- Non, non, je ne veux pas, dit l’un. Je n’appartiens à personne. Tu m’entends? A personne!
- Enfin, quelle mouche te pique?
- Je n’appartiens à personne parce que je ne suis la propriété de personne.
- Qui a dit que tu étais la propriété de quelqu’un?
- Le dictionnaire. Appartenir signifie: «Etre la propriété de quelqu’un».
- Ah. Oui. Donc tu n’appartiens à personne. Qui est concerné par cette déclaration?
La semaine dernière un commando féministe est intervenu dans l’enceinte d’un stage sur le couple à Lausanne. Ce commando était composé d’environ huit personnes masquées. Elles sont entrées dans la salle, ont interrompu le séminaire et crié des slogans hostiles.
Créer la journée des couples heureux? Quelle belle idée!
Je met en vue ce commentaire du psychologue canadien Yvon Dallaire, commentaire qu'il a posté sous mon précédent billet. Que chacun y réponde comme il l'entend, et peut-être sera-ce le début de quelque chose de nouveau.
L’excellent magazine en ligne et papier Causeur a fait un premier bilan du mariage homo un an après son instauration en France. Il rappelle d’abord que le mariage gay a aboli le droit fondamental et anthropologique à une double filiation paternelle et maternelle. Puis l’auteur, Pascal Bories, livre quelques chiffres et observations.
La collision est inévitable. Elle a déjà commencé. D’une part le règne de l’enfant roi est solidement installé. Aujourd’hui tout tourne autour de l’enfant. La famille nucléaire a glissé du centrage sur les parents en tant que pôle de référence réelle: géniteurs, protecteurs. nourrisseurs et éducateurs, au centrage sur l’enfant en tant que projet hypertrophié et harassant.
Les derniers développements ne sont plus de l’ordre de la vie privée. Ils sont une illustration directe de la politique de François Hollande et de ses valeurs. Un morceau d’anthologie que ce feuilleton.
Valérie Trierweiler n’est pas aimée. Ses manières dominatrices, sa volonté de n’en faire qu’à sa tête une fois à l’Elysée, le tweet assassin sans aucun respect pour son compagnon, entre autres, ont donné d’elle l’image désastreuse d’un dragon. Elle s’est présentée comme rebelle, alors qu’elle semble plutôt caractérielle.
La différence biologique reste selon moi normative des places respectives des femmes et des hommes. On peut dire qu’il y a une référence spécifique à chaque sexe. Elle a donné lieu à l’adage: «Les femmes et les enfants d’abord». Il y a là une idée qui spécifie une attention différente accordée aux deux sexes. Le but en est est la préservation et le bien-être de l'espèce. Préserver les femmes c’est assurer une descendance nombreuse qui assure la survie du clan ou de la famille.
Voici une situation qui pose de manière très délicate la question de la parentalité et en particulier de la paternité. Le cas s’est produit au Québec. Un homme, père de quatre enfants conçus dans le cadre d’un mariage, se sépare de sa femme. Que se passe-t-il alors dans sa tête?
Démocratie et libéralisme ont pris le pouvoir politique et intellectuel dans la majeure partie des pays du monde, même si les pratiques varient parfois sensiblement. Ainsi la France n’est une démocratie que partielle. Le mode électoral majoritaire à deux tours, le présidentialisme, l’autoritarisme du pouvoir qui ne négocie que rarement et préfère la confrontation au dialogue sont une conception limitée de la démocratie. Très différente de la Suisse: représentation proportionnelle jusqu’aux plus hautes instances de décision, initiative populaire et référendum, importance du débat public.
Vit-on de ses rêves? Peut-on construire un projet ou entreprendre une action sans y mettre un plus: l’espoir, ou au moins le désir, d’un résultat conforme à ses voeux?
La question du «mariage pour tous» (ou presque) fait débat dans le public sans que les politiques n’en soient les maîtres. C’est une bonne nouvelle. Discuter, débattre d’un thème de société important, doit être la fonction même de l’agora, de l’espace public et citoyen.
C'est un sujet de société important. Le couple de référence scellé par le mariage a été le couple hétérosexuel. C'est lui qui a assuré la survie de l'espèce et la reproduction autonome jusqu'à ce jour. C'est un statut biologique et social de première importance. C'est la norme. L'élargissement de la notion d'union et de famille aux couples homosexuels n'est donc pas qu'une formalité administrative. C'est un questionnement sur la société et ses repères. Ce questionnement est légitime, bien au-delà des stupides remarques pavloviennes sur une supposée homophobie.
La série Borgen est intéressante et bien faite. Elle décrit la lutte pour le pouvoir au Danemark. Le Premier ministre est une femme, Birgitte Nyborg. Comment gère-t-on le pouvoir dans une démocratie représentative? Quels sont les compromis nécessaires et les coups bas? Jusqu’où faut-il sacrifier sa vie personnelle pour administrer un pays?
Une étude norvégienne portant sur 15’000 personnes établit un constat surprenant: Les couples qui partagent le plus les activités de la maison sont aussi ceux qui divorcent le plus. Plus les hommes sont impliqués plus le taux augmente. Ce de manière conséquente: 50% de divorces en plus que dans les autres couples.
Les humains et certains animaux sont sensibles à la réciprocité. L’échange doit aller dans les deux sens sans quoi l’un se sent lésé et n’échange plus, ou un conflit s’installe. La réciprocité suppose une certains symétrie d’échanges de même nature. «Je te donne autant que tu me donnes».
C’était prévisible: l’élection de François Hollande, le commis des groupes féministes radicaux, et la mise en place de son gouvernement Javel, va faire se déchaîner la Féminista. Et cela commence tout de suite. Les mecs, cette fois réveillez-vous et ne vous laissez pas faire.
(Sérieux s'abstenir...)
Les couples humains se constituent selon de nombreux modèles, de préférence le soir autour du point d’alimentation appelé le restaurant. Certains voient le jour de jour, bien sûr, mais à moins d’être sur une plage de sable blanc au bord d’une mer chaude, le jour n’est pas aussi propice à la reproduction qu’une soirée devant un incendie de forêt - des bougies - ou au petit matin en sortant d’une boîte à bruit. Car ne l’oublions pas: un couple sert d’abord à la reproduction.