On ne naît pas homosexuel, on le devient. C’est le thème d’une manifestation qui se déroule à Paris. L’objectif est annoncé: théoriser pourquoi et comment quitter l’univers homo.
On ne naît pas homosexuel, on le devient. C’est le thème d’une manifestation qui se déroule à Paris. L’objectif est annoncé: théoriser pourquoi et comment quitter l’univers homo.
On ne serait donc pas femme ou homme par la nature mais uniquement par une construction sociale, collective d’abord, puis individuelle. Bien que disposant de testicules et du chromosome X, un homme pourrait se ressentir et se déclarer femme.
La Suisse vient de créer une loi spécifique pour sanctionner les mariages forcés. Ce qui était auparavant puni pour raison de contrainte et sur dénonciation devient un délit poursuivi d’office. La loi concerne également les mariages forcés commis à l’étranger. Quelques réflexions sur un sujet moins simple qu’il n’en a l’air.
Par sélectif il faut entendre ici la sélection du sexe de l’enfant. Certaines cliniques anglaises acceptent de pratiquer l’avortement à la demande de parents qui ne veulent pas de fille ou pas de garçon.
Les sociologues, et dans une certaine mesure les psychologues, observent les humains comme des bateaux à la dérive. Comme s’il suivaient le courant sans moteur ni gouvernail. Il est vrai on ne leur demande pas de faire de la morale, c’est-à-dire d’établir des règles dans les relations en fonction d’un bien ou un mal.
Qu’aurais-je fait à sa place? Je me posais cette question en lisant la déclaration d’une des Amazones de Kadhafi. Il s’agit d’une jeune femme de 19 ans citée par le Figaro: «... elle affirme par ailleurs avoir été forcée à exécuter des insurgés prisonniers, onze en tout. «Ils les ont amenés un par un en me disant : tue-le (...), si tu ne le fais pas c'est nous qui te tuerons».
La liberté fait partie des piliers de notre société. Le mot est inscrit dans la devise de la France et figure dans le premier article de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Elle semble évidente. Pourtant elle peut être interprétée de différentes manières.
Le mot anglais est relativement récent, mais la fonction est ancienne. Un entraîneur sportif est un coach. Pourquoi dès lors utiliser l’anglais? Parce que «entraîneur» est typé sport alors que la fonction s’est élargie à d’autres domaines d’activité. Et le féminin d’entraîneur n’est guère utilisable pour une femme.
Dédé la science ne permettant pas de poser de comm sous ses billets, et ayant bien envie de répondre à son dernier, j’ouvre une réponse ici faute de mieux.
Dans un précédent billet, un commentateur - Greg - a posté un commentaire auquel je n’ai pas encore répondu. Après réflexion, ce commentaire vaut bien un billet. Voici d’abord des extraits du commentaire de Greg, que je remercie ici pour sa contribution.