Je continue avec ce focus sur l’actualité. C’est aussi une belle histoire, l’histoire d’une réussite à plusieurs niveaux. Elle montre, pardonnez-moi ce jeu de mot incertain, que la persévérance est parfois récompensée.
Je continue avec ce focus sur l’actualité. C’est aussi une belle histoire, l’histoire d’une réussite à plusieurs niveaux. Elle montre, pardonnez-moi ce jeu de mot incertain, que la persévérance est parfois récompensée.
La Suède n’est pas le seul pays à subir les aléas de l’énergie éolienne (voir précédent billet). Le Texas a dû procéder à des coupures de courant. Plus d’un million de personnes sont chez elles sans électricité alors qu’une vague de froid historique frappe l’État. En Europe la douceur revient sur l’ouest pendant que la vague de froid se déplace vers la Turquie (image 2 Windy, clic pour agrandir).
Je viens aujourd’hui sur une histoire plus médiatique, moins intimiste que les précédentes. Celle-ci a fait le tour du monde. Une histoire qui a fait rêver et a réuni des scientifiques à la fois très sérieux et délicieusement fous, et des millions de profanes aux yeux grands ouverts.
J’ai hésité à publier ce billet dans la rubrique Belle histoire. Mais celle-ci parle de personnes et de leurs actions. Aujourd’hui je mets en valeur non des personnes mais le génie créatif de l’homme.
Flygskam ou Flygstolt? Ce n’est pas pareil. Je lisais sur le dernier billet de Philippe Meyer que les injonctions à renoncer aux voyages en avion avaient un nom en suédois: Flygskam.
Fini l’or des stades pour les vraies femmes. Elles se font surclasser par les femmes transsexuelles, c’est-à-dire des hommes biologiques ayant changé d’apparence et d’identité.
Trop chère et inutile, l’exploration spatiale? Ou bien sommes-nous déjà blasés du merveilleux? Pourtant la quête du merveilleux n’est pas le seul moteur des fusées. Les retours sur investissement, en brevets et en qualité de vie, justifient largement la poursuite des opérations spatiales.
L’astromobile Perseverance s’est envolé pour Mars (images Nasa, clic pour agrandir). La mission est évaluée à 2,5 milliards de dollars. Trop chère disent certains selon BFMTV, qui ne comprennent pas qu’en temps de crise l’argent ne trouve pas une utilisation plus terre-à-terre.
Le quotidien revient sur les incendies. Dans un article paru le 15 Christian Jacot-Descombes rend compte de deux mois d’observation sur le terrain: quelle était la communication autour des feux?
Dites bientôt adieu à la voiture électrique. Ce n’est plus l’avenir. Ses limitations (autonomie, durée et lieux de charge, prix et composition des batteries aux terres rares non renouvelables) sont rédhibitoires. Et il y a mieux à venir.
Dites bientôt adieu à la voiture électrique. Ce n’est plus l’avenir. Ses limitations (autonomie, durée et lieux de charge, prix et composition des batteries aux terres rares non renouvelables) sont rédhibitoires. Et il y a mieux à venir.
C’est presque une raison sociale tellement leurs noms sont associés : Mayor & Quéloz, mondes en tous genres. Pourtant ils nous mettent dans la panade. Avant eux c’était tout simple. La vie était un phénomène purement terrestre, point barre. Les autres mondes étaient de la science-fiction.
La vue des images, la pensée de l’événement, stimulent mes neurones. Mais aussi la formidable organisation qui a permis de tout imaginer et mettre en place, dont des centaines de milliers de collaborateurs directs ou sous-traitants, ainsi que l’état d’esprit qui a prévalu. De la première idée au dernier boulon serré, tout était scruté, transparent et évolutif. Ci-après, quelques extraits d’un article de Marc Tison paru dans lapresse.ca qui expose cela point par point.
Je m’étais promis de ne pas aborder les « affaires lunaires ». Et j’ai failli, dans un court commentaire sous un récent billet. Avant de les ranger à nouveau dans leur boîte je souhaite démonter le faux aveu de Buzz Aldrin, utilisé par les « négationnistes » comme une preuve indiscutable du mensonge.
Deux courts sujets ce matin. D’abord la Cosmic Watch, une appli qui devrait plaire aux amoureux des étoiles comme au astronomes amateurs, et qui donne aussi l'heure. Ensuite l’arrivée du front froid en gif animé.
La revue féministe anglophone Gender, Place, and Culture a publié et porté au pinacle une étude intitulée: « Réactions humaines à la culture du viol et performativité queer au sein des parcs à chiens de Portland, Oregon ».
Chang’e-4, New Horizon et Insight: plusieurs événements ont marqué l’actu spatiale ces dernières semaines. Mars again, Ultima Thulé et la face cachée de la Lune: de quoi faire rêver.
D’abord cette info surprenante. Une étude récente sur le réchauffement des océans a dû être modifiée après publication dans Nature. L’étude, très alarmiste, avait pourtant été révisée puis validée par un comité de lecture et publiée dans la plus prestigieuse revue scientifique au monde. Or la méthodologie et les conclusions de cette recherche étaient erronées.
Le Faucon est arrivé à destination près du Dragon de la mer. Il a le ventre gros de sa Mascot, boîte carrée qui verra bientôt le jour dans la nuit sidérale. Un programme chargé les attend autour de ce « dé » cosmique à huit faces.
Rapide survol de Mars grâce à quelques-unes des belles images de la planète rouge. On y découvre que cette couleur, observée depuis des temps anciens, est plutôt orange ou ocre quand on approche de son atmosphère ou de son sol, comme le montre l’image 1 de l’horizon martien (image CNES, clic pour agrandir).
Les grandes peurs collectives sont nourries par certains comptes-rendus d’études scientifiques. Par exemple celle-ci: à cause des chiens, des centaines de millions d’êtres humains pourraient périr. Les chercheurs nous régalent.
On sait que le CO2 est indispensable à la croissance des végétaux. Mais son augmentation ne comporte pas que des avantages. Une récente étude montre une baisse de la qualité nutritionnelle du riz quand le niveau de CO2 est élevé.
En avril 2016 déjà une étude parue dans la revue Nature indiquait déjà que la pluviométrie observée au XXe siècle n’avait pas connu les extrêmes annoncés par les modèles des climatologues. Les modélisations, et ceux qui les élaborent, avaient surestimé les effets du réchauffement, en surestimant la réponse de l’atmosphère au forçage radiatif.
Je ne crois pas à la théorie conspirationniste des chemtrails. J’ose même l’offense: croire à cette théorie et la professer, c’est faire peu cas de la raison. Résumé de la théorie et éléments critiques.
Elon Musk a fait sa pub en envoyant une Tesla roadster en l’air, comme une hôtesse du même genre. Mais a-t-il anticipé le risque de chute sur notre planète? D’autres le font. Et ça craint! Sur un un tabloïd on lirait: Tesla va tomber sur nos têtes. Séquence dramatisation.
Ils sont fous ces ricains. Il n’y a qu’eux pour imaginer un tel défi: une sortie dans l’espace sur les chapeaux de roue. De voiture. Inconvénients: pas de panneau indicateur ni de marquage des routes célestes.
Je choisis le mot en -isme pour indiquer qu’il ne s’agit pas d’actions ponctuelles mais d’une philosophie politique générale. Conservation et limites ont remplacé le paradigme libertaire des années 1950-1980.
Le Matin d’hier s’est livré à la surenchère. L’ours blanc fatigué, actuelle vedette des médias, est désigné comme un martyr. D’ailleurs martyr est forcément pluriel, même sans S généralisateur (image 3). Un seul ours est malade et tous seraient martyrs. C’est le message.
Retour sur cette image largement diffusée dans les médias. Il y a comme un syndrome Aylan: l’ours est seul, peut-être mourant. Un seul spécimen tire des larmes au monde entier. Son agonie serait la preuve de la situation supposée dramatique des ours polaires.
Si la situation est rare dans le cas d’un ouragan elle n’est pas totalement inédite. Car malgré leur puissance endogène ces éléphants météorologiques dépendent des circonstances extérieures. Ici, d’un vaste anticyclone qui le bloque sur place.