Une armée de vertueux sort du bois depuis quelques temps. De nombreuses pubs vantent un virage environnemental sans que l’on sache si c’est nouveau et bien réel.
Une armée de vertueux sort du bois depuis quelques temps. De nombreuses pubs vantent un virage environnemental sans que l’on sache si c’est nouveau et bien réel.
Fini l’or des stades pour les vraies femmes. Elles se font surclasser par les femmes transsexuelles, c’est-à-dire des hommes biologiques ayant changé d’apparence et d’identité.
La politesse est au service de la gentillesse et du respect. Et la gentillesse est une facette de la bienveillance. Pas de quoi faire la Une des médias avec ça. Trop ringard et sans histoire.
Hier je me suis arrêté sur une phrase du dernier billet de Mireille Vallette: « 83 % des lycéens disent que les choses les plus importantes à enseigner aux enfants sont l’obéissance et le respect de l’autorité. »
Nous nous indignons. Nous dénonçons des offenses. Ce faisant nous pensons agir pour le Bien, et nous nous rangeons de son côté. Nous pensons être mieux. Il manque pourtant quelque chose.
C’est un mot fort, peuple. Chargé d’émotions et de mythes. Dont celui d’une masse homogène marchant derrière son chef. Parce que, si l’on y regarde bien, le mot peuple n’est jamais invoqué par le peuple lui-même mais par quelques-uns qui parlent en son nom – ou qui l’utilisent pour parler de manière indirecte en leur propre nom.
Un enfant est assis sur une banquette à côté de sa mère. Je le sais parce qu’il l’appelle maman. L’enfant, un petit garçon, a environ quatre ans. Sa mère lui apprend à compter sur les doigts. Il est ravi et s’investit dans le jeu.
Il y a globalement deux discours. Par l’un on fustige le concept de Nation, en particulier en Europe. Son slogan: la Nation c’est la guerre. Par l’autre on valorise les nations ethniques, minoritaires et parfois opprimées, ou sans terre.
Dans mon précédent billet je critiquais la contritionnite qui sévit dans notre occident un peu dérangé. Je n’ignore cependant pas l’importance des excuses, mécanisme fondamental des relations humaines. Pourvu qu’elles soient sincères et adressées à bon escient.
Ça balance pas mal, à Paris (Texas, USA). Cette fois c’est la chanteuse Katy Perry qui se fait reprendre. Après Weinstein et d’autres, elle voudrait montrer que la sexualité doit être festive et que dans une fête il y a des surprises. Vaya con Dios, Benjamin, te voici (presque) déniaisé!
Cette fois la cible est Christine Angot. Chroniqueuse chez Ruquier, également écrivain, elle a eu des mots peu appréciés: « Etre artiste, c’est toujours le résultat d’un échec, d’un plan B. » C’est ce qu’elle pense.
Jean-Marie Bigard n’est pas seul à faire dans le lourd bien gras et provocateur. Il ne fait pas dans la dentelle. On se souvient de son Lâcher de salopes tout en délicatesse… Avec Laura Laune les amateurs de finesse bien léchée et pasteurisée repasseront. Car l’air de rien elle tape et provoque.
Dans les forêts sauvages les arbres ont une « vie sociale » intense. Ils s’entraident et s’envoient des messages au moyen de leurs composés organiques volatiles, véhiculés par l’air comme par un wifi, ou au moyen des racines, reliées entre elles par des kilomètres de filaments mycéliens.
En viendrons-nous à regretter Kadhafi? La Libye, livrée aux tribus et roitelets, fait à nouveau ce que la culture régionale a longtemps considéré comme normal: le commerce d’êtres humains. Hommes et femmes peuvent être achetés et revendus aux fins de servir de nouveaux maîtres. La route vers la liberté s’achève dans une cage.
En août, la municipalité d’Amsterdam recommandait à ses employés d’éviter autant que possible les termes Monsieur et Madame. Elle préconisait l’usage d’un langage plus neutre, non sexué, pour les personnes souffrant de dysphorie de genre. Pourquoi?
Le Canada vient d’autoriser la mention « X » pour désigner le sexe de personnes qui ne s’identifient ni comme femmes ni comme hommes. Mais existe-t-il vraiment un sexe neutre? Ou la vérité est-elle ailleurs comme dans la série X-Files?
C’est une classe expérimentale dans la ville de Trappes. Ici pas de maîtresse qui impose et sanctionne. Les enfants n’apprennent pas dans la crainte et le stress. Ils apprennent en s’entraidant.
Les comportements sexuels féminins n’ont pas fini de surprendre. C’est un constat, pas un jugement. On reconnaît habituellement aux femmes plus de réserve qu’aux hommes. L’affaire que j’évoque se passe aux États-Unis, dans la petite ville d’Evans, en périphérie d’Augusta en Géorgie.
Pourvu que Najat Vallaud-Belkacem soit durablement écartée de la politique. Son séduisant sourire cache une idéologue farouche qui a fait de l’école publique un champ de bataille. Comme d’autres.
Le thème des migrations est un des plus clivants aujourd’hui. C’est donc un bon sujet. Pour certains l’immigration est une chance. Pour d’autres une plaie. Comme souvent il y a du vrai dans les deux affirmations.
Mon récent billet sur l’uberisation du sexe par la mise aux enchère de la virginité a suscité une discussion vive avec une internaute canadienne. J’avais posté un lien vers mon billet sur un site au Québec. J’y publie parfois ceux de mes billets qui peuvent entrer dans la thématique: progrès et liberté.
Dans un documentaire sur cette saga qui cartonne, l’acteur et producteur Vin Diesel affirme qu’un des éléments de sa réussite est le multiculturalisme. Lui-même se proclame première mégastar multiculturelle d’Hollywood.
Les démocrates n’en ont pas fini de distiller les petites phrases contre l’élu. La dernière en date vient de Bill Clinton. Elle date du 10 décembre et a été publiée le 16. Billy-the-dick était en visite à Pleasantville, non loin de son homeland de Chappaqua.
Le gouvernement français a publié une statistique comparant l’évolution des niveaux en orthographe depuis trente ans. Entre 1987 et 2016 le taux moyen de fautes a presque doublé.
Je regarde parfois Incroyable Talent sur M6. À côté des gags, comme ce bodybuldé qui peint avec son pénis, il y a de réels talents, amateurs ou professionnels.
Un bouc émissaire pour détourner l’attention, cela ne se refuse pas. En plus il est juif et petit. C’est une cible idéale. En France, on n’aime pas les petits.
Il semble très valorisant de montrer sa valeur morale publiquement. La presse est devenue un lieu de prêche où les bons décernent les points. Aux mauvais, mais à eux-mêmes aussi.
À table j’ai toujours la même place. Quel que soit le groupe d’amis. Toujours, c’est excessif. Ma place a changé en de rares occasions. Je ne me souviens pas comment cela s’est institué. C’est bien d’avoir une place.
Le renversement des choses fait partie des possibles. Les djihadistes ne sont pas les seuls à être radicalisés. La radicalité contient l’idée d’un conflit non négociable, ou d’une action irréversible, voire d’une rupture majeure avec l’état qui précède. On peut la rencontrer partout.
Je classerais Louise Turcotte dans la déraison politique, à l’intersection de la folie personnelle, la dé-connexion du monde sensible, et l’outrance individuelle ou folie psychiatrique.