Deux belles histoires en une: je vous invite cette fois dans un univers peu connu, celui des éleveurs d’oiseaux. L’histoire d’Alan, résumée, commence dans son enfance quand il s’occupe avec passion de petits animaux de compagnie.
Deux belles histoires en une: je vous invite cette fois dans un univers peu connu, celui des éleveurs d’oiseaux. L’histoire d’Alan, résumée, commence dans son enfance quand il s’occupe avec passion de petits animaux de compagnie.
Amusons-nous un peu. Je trouve drôle et caricatural à souhait (vidéo en fin d billet). Un comédien et une comédienne présentent la météo sur Canal Plus. Et ils ne font rien comme les autres.
Parce qu’il y a des grands nains. Enfin, des nains plus grands que d’autres. Ils n'ont pas tous la même taille. Sinon ça n’a pas de sens de dire p’tits nains. C’est juste gentil. Un nain, c’est petit, ça ne peut pas faire de mal. Alors, p’tit nain c’est une manière gentille de s’adresser aux autres.
Bonne année inclusive aux détériorés, aux restreints, aux étroits, et à tous les offensés du monde moderne. Et il y en a! On a vu précédemment que, pour des universitaires états-uniens, faire un pique-nique est offensant car supposément raciste. À tort, mais peu importe, c’est le progrès, paraît-il.
C’est une bonne nouvelle et un exemple de résilience. Ravagée par l’ouragan Irma en 2017, l’île de Saint-Martin semblait agonisante. Avec 95% des habitations détruites ou endommagées et une perte importante de la biodiversité marine, les plus sombres pronostics étaient avancés.
La gauche états-unienne semble être la plus bête du monde. Voici un exemple navrant de plus, exemple de ce qu’il y a derrière Joe Biden et Kamala Harris. Surveillez vos arrières!
C’est quelque chose de simple, une pratique personnelle que l’on m’a transmise il y a longtemps, que j’ai gardée et que je fais passer. Elle ne se limite pas à un seul jour par année mais Noël est bien indiqué pour y penser.
Le ciel de fête nous propose un cas d’école. C’est l’une des deux situations météo où l’air froid envahit l’Europe en hiver. Ici c’est la voie du nord.
Du moins en-dessous de 3’000 à 4’000 mètres. La Tribune de Genève fait état d’une étude universitaire suisse: « … les Alpes étaient probablement libres de glace, jusqu’à une altitude de 3000 à 4000 mètres, avec des glaciers nettement plus petits qu’actuellement. »
On se souvient peut-être de l’enlèvement de 276 lycéennes par le groupe Boko Haram en avril 2014 au Nigeria. Une vague d’indignation mondiale avait suivi le kidnapping des jeunes filles.
L’avenir reprend des couleurs après le passage dans le pot-au-noir de la Covid. La publicité vend à nouveau du rêve. Nivea ose même une ode quasi biblique à la bienveillance. Voyons cela en vidéo.
J’ai zappé quelques fois sur cette émission annoncée comme un divertissement « nouvelle génération ». C’est plutôt une sorte de jeu vidéo primitif de bien avant les 64K et les cartes graphiques modernes, et qui reprend ce qui s’est déjà fait ailleurs dans un nouveau décor. Pour ma part, c’est Z comme zéro.
Le magazine Temps Présent diffusé sur la télé romande le mois dernier (ci-dessous vidéo 1) est sans appel: l’énergie éolienne est inutile en Suisse, parce qu’inefficace. Pire: les promoteurs ont surévalué les possibilités de vent, faisant miroiter des rendements illusoires.
On savait le nouveau représentant spécial pour le climat nommé par Joe Biden, John Kerry, opposé aux centrales nucléaires. C’était il y a longtemps. Depuis il a retourné son point de vue.
Pourquoi parle-t-on de castagne lors d’une bagarre? Ce mot est emprunté à un dialecte méridional – probablement le gascon selon le cnrtl.fr, ou est d’origine occitane selon Wikitionnaire (castanha). Ou simplement repris de l’italien castagne. Il désigne en vrai tout autre chose que la bagarre.
Une armée de vertueux sort du bois depuis quelques temps. De nombreuses pubs vantent un virage environnemental sans que l’on sache si c’est nouveau et bien réel.
Si vous voulez savoir pourquoi il faudra vous faire vacciner chez votre coiffeur le 24 décembre après 21 heures, prenez le temps de ces 3 minutes.
Flygskam ou Flygstolt? Ce n’est pas pareil. Je lisais sur le dernier billet de Philippe Meyer que les injonctions à renoncer aux voyages en avion avaient un nom en suédois: Flygskam.
Il était très critiquable, mais tellement prodigieux. On ne lui tient plus compte du passif. D’abord, parce que le temps passe et que nous changeons. Ensuite, pour cette extraordinaire liberté qu’il a apporté au foot.
La sentence attendue est tombée: une lourde condamnation, à la mesure du crime. L’avocat du condamné a indiqué que celui-ci ne fera pas appel.
Sous ce titre, France 2 diffusait il y a quelques jours une émission sur les personnes transsexuelles. Le concept fait poser des questions essentielles sur la nature humaine et la constitution de l’identité sexuelle.
Le drôle de cocovir sera-t-il jugulé par un vaccin? Et si oui, lequel? La course entre laboratoires touche à sa fin. Sous peu les premières doses seront à disposition de certaines populations.
BFMTV diffusait hier les deux premiers épisodes d’une mini-série de quatre sur l’affaire Daval. La disparition et la mort d’Alexia à Gray-la-Ville (image 2) avaient déclenché une forte onde de choc émotionnelle en France, il y a trois ans.
Rien à voir avec la chanson de feu Johnny « ah que » Hallyday, Noir c’est noir (il n’y a plus d’espoir). Les croque-morts ne sont pas désespérés. Ils sont « chargés », comme le titre le Matin dimanche d’hier. Chargés? Vous avez dit chargés?
Aujourd’hui je jette l’ancre – et l’encre – de ma rubrique du côté du Massif central. Précisément à 45 kilomètres à l’ouest du Puy-en-Velay, à Saugues, dans une campagne plutôt pauvre.
Je prends pour acquise la défaite de Donald Trump. Pour la suite à donner aux plaintes pour fraude, les tribunaux statueront. Y a-t-il eu fraude? Disons qu’en l’état des éléments paraissent troublants. Il est donc normal que le Donald tienne sa position jusqu’au bout, au cas où il aurait raison.
Je regardais des reportages dans la rue après l’annonce de la victoire de Joe Biden. Surprise: une manifestante espérait que le nouveau président lutte contre la pauvreté.
Le 16 juin dernier Jean-Dominique Michel (JDM) publiait un texte écrit par un jeune homme de 27 ans. Le titre, Coronacolère, donnait un aperçu du contenu. Je n’ai pas été déçu. Je commente aujourd’hui des extraits ce texte et de sa présentation.
Je montrais précédemment que la politique de Donald Trump a été favorable aux minorités ethniques. Eh bien pas seulement. La RTS et France 2 diffusaient hier soir 3 novembre une émission sur l’élection américaine, Le choix américain. Chose remarquable: le ton était posé et réfléchi, bien différent de l’hystérie de certains médias ces derniers jours.
J’écris ce billet à quelques heures des résultats de l’élection. Je sais qu’il n’est pas politiquement correct de trouver du bon au Donald. Mais je m’en fiche. Je suis saturé du bruit du monde et je veux me tenir hors du tourbillon. Trump ne me fait pas peur, et je trie dans le personnage et dans son programme.