Les fashion weeks, grand-messes de la mode mondiale, sont des temps de surenchère dont les médias raffolent. Surenchère dans le ridicule. Ce petit monde fermé représente le front avancé du gloubiboulga occidental.
Les fashion weeks, grand-messes de la mode mondiale, sont des temps de surenchère dont les médias raffolent. Surenchère dans le ridicule. Ce petit monde fermé représente le front avancé du gloubiboulga occidental.
La flamboyante ex-politicienne romande l’avait annoncé au mois de novembre dernier: elle est la nouvelle rédactrice en chef du magazine gratuit Femina. Une feuille de chou comme on en trouve aux caisses des supermarchés français, encartée dans Le Matin chaque dimanche.
Je publie aujourd’hui ce clin d’œil au siècle libertin. Ce mot suggère une forme de liberté des moeurs. Elle en est la forme la plus visible et provocatrice socialement.
Amusons-nous un peu. Je trouve drôle et caricatural à souhait (vidéo en fin d billet). Un comédien et une comédienne présentent la météo sur Canal Plus. Et ils ne font rien comme les autres.
J’ai zappé quelques fois sur cette émission annoncée comme un divertissement « nouvelle génération ». C’est plutôt une sorte de jeu vidéo primitif de bien avant les 64K et les cartes graphiques modernes, et qui reprend ce qui s’est déjà fait ailleurs dans un nouveau décor. Pour ma part, c’est Z comme zéro.
Si vous voulez savoir pourquoi il faudra vous faire vacciner chez votre coiffeur le 24 décembre après 21 heures, prenez le temps de ces 3 minutes.
Rien à voir avec la chanson de feu Johnny « ah que » Hallyday, Noir c’est noir (il n’y a plus d’espoir). Les croque-morts ne sont pas désespérés. Ils sont « chargés », comme le titre le Matin dimanche d’hier. Chargés? Vous avez dit chargés?
Le roman Les Dix petits nègres noirs blacks d’Agatha Christie a montré la voie. Envisageons ensuite la mise en conformité d’autres titres impies. C’est un devoir moral: dans l’actuelle vague submersive de dégagisme culturel, il faut les modifier afin qu’ils deviennent politiquement corrects.
Ce pourrait être la phrase de l’année. Elle fait un tabac. Dans la rue, au supermarkette, à la télé, elle revient en boucle dès qu’une conversation sort de la météo.
Les français adorent mettre la chienlit. Ils se font des polémiques pour des riens, pourvu qu’ils plongent dans l’arène. Ainsi pour ce prof tatoué de la tête aux pieds qui agite l’hexagone.
Le cocovir a provoqué un changement à la vitesse de la lumière : les ploucs anciennement ringardisés par les bobos urbains reviennent sur le devant de la scène. Aujourd’hui Cohn-Bendit est plus ringard que le péquenot du fond de la Creuse. Le coco Vert va devoir se faire à l’odeur.
Voici quelques exemples (en bleu italique) cueillis sur internet. Je ne les relève pas tous, mais ceux-ci m’ont amusé. Je ne cite pas la source pour ne pas surcharger la lecture. Ce n’est d’ailleurs pas important.
Plus besoin de mettre un slip sur sa tête: ils arrivent. Ils sont annoncés pour cette semaine. Les masques de protection sont même déjà disponibles dans certaines officines médicales. Pourquoi maintenant seulement? Et pourquoi ne sont-ils pas disponibles à bas prix dans tous les commerces de détail?
Quelques mots encore sur la volonté de féminiser des noms de rues et des panneaux signalétiques. Je n’ai pas lu de débat public préalable à ces décisions. Or il y a nécessité d’un débat.
Cela ressemble à la guerre, telle que ma mère la racontait. Des rues vides, un couvre-feu, les italiens interdits de sortir de chez eux sous peine d’être amendés ou emprisonnés.
J’ai trouvé cet amusant message sur le net à propos de la place du féminin dans l’écriture dite inclusive. L’autrice fait une proposition délicieusement absurde, histoire d’expliquer l’inclusivité pour les nul(le)s. C’est rafraîchissant.
La nouvelle signalisation est amusante et le principe d’un pictogramme inclusif se défend. En plus de leur fonction de base qui est d’avertir d’un risque sur la route, ces panneaux modifiés célébreraient l’égalité, la diversité, l’inclusivité justement, et la joie d’être féministe. Enfin selon madame Salerno, maire de Genève.
Sur leurs blogs trois personnalités politiques genevoises se sont attelées au rituel du moment: poster un message lumineux pour l’an neuf. De mon côté j’ai fait l’effort de les lire et d’y penser. Voili voilou le résultat.
En France, l’exposition d’un sapin de Noël un peu spécial donne à penser que la déforestation est en réalité une avancée vers l’égalité femmes-hommes. Comment est-ce possible? L’œuvre du jour l’illustre, qui n'est pas un rôti de Noël – bien qu'un premier coup d’œil trop rapide puisse induire en erreur un observateur distrait.
Elles doivent être trop moches pour faire carrière à Hollywood. Aucun producteur n’a voulu d’elles contre un rôle dans un film. Et Weinstein, pas trop regardant sur l’exposition des chairs hollywoodiennes, est hors service.
Être président de la France n’est pas de tout repos, quand cela ne tourne pas au calvaire. Ce n’est pas tant la grève générale du 5 décembre. Elle fait partie du bordel chronique des français. Ceux-ci votent à chaque fois pour le changement, puis ils font tout pour bloquer ledit changement. C’est leur tango.
Regula Rytz mord la poussière, annonce la Tribune de Genève. Elle n’ira pas balancer ses miches sur les bancs du Conseil des États. La femelle LV a échoué. LV pour Les Verts, pas pour Louis Vuitton, malgré son patronyme homonyme d’un hôtel de luxe.
Nouvelle pièce dans ce dossier haletant, qui justement (ça tombe bien) tient le monde en haleine. C’est parti, rappelez-vous, des hommes qui écartent les cuisses sur les places voisines dans les transports Publics. Le manspreading, comme elles disent.
Le nombre de people vertueux augmente. Comme ils ont besoin de notre amour, c’est-à-dire de notre argent, et que l’écolophilie rend sympathique, ils s’engouffrent dans l’environnementalisme. Tant d’empressement est exemplaire. Ou pas.
La pêche au voix noires a commencé. Noires de carbone. On apprend dans Le Matin Dimanche de ce jour que le parti Libéral-Radical promet la rédemption écologique. Chaque vote sera « neutre en carbone ». Chaque vote en sa faveur, faut-il préciser.
Le terrain est en bordure d’un espace public, une pelouse, qui le sépare de la route. Un petit passage au bout du terrain fait raccourci entre cette route et des immeubles. En cette fin d’après-midi nous sommes six joueurs. Deux épouses accompagnent leur homme.
Foin des allusions perfides sur le coût de la traversée. Que de mauvaises langues pendent autour de la jeune fille! Pourtant on vous dit que le bateau est écolo. Avec des panneaux solaires et une turbine génératrice d’électricité.
Le détournement de cette phrase célèbre est dévastateur pour François de Rugy. L’humour est macabre et rappelle sans doutes de mauvais souvenirs à Omar Haddad. Mais il fait mouche et pourrait laisser longtemps son empreinte (carbone) dans le paysage politique français.
Lu sur le site de la télévision suisse romande: une médecin a été acquittée du chef d’accusation de meurtre par aide au suicide. Ce n’est pas tant l’affaire elle-même qui m’intéresse que la féminisation des mots par la RTS.
La télé romande n’a plus de sous pour payer des rédacteurs et rédactrices compétentes. Ils mettent des novices prêts à bien faire. J’en ai découvert un. Un prosélyte zélé qui vient de lire la leçon 0 du cours de genre, celle intitulée: Tiret à gauche, tiret à droite, tiret à vue!