Je continue avec ce focus sur l’actualité. C’est aussi une belle histoire, l’histoire d’une réussite à plusieurs niveaux. Elle montre, pardonnez-moi ce jeu de mot incertain, que la persévérance est parfois récompensée.
Je continue avec ce focus sur l’actualité. C’est aussi une belle histoire, l’histoire d’une réussite à plusieurs niveaux. Elle montre, pardonnez-moi ce jeu de mot incertain, que la persévérance est parfois récompensée.
Je viens aujourd’hui sur une histoire plus médiatique, moins intimiste que les précédentes. Celle-ci a fait le tour du monde. Une histoire qui a fait rêver et a réuni des scientifiques à la fois très sérieux et délicieusement fous, et des millions de profanes aux yeux grands ouverts.
Deux belles histoires en une: je vous invite cette fois dans un univers peu connu, celui des éleveurs d’oiseaux. L’histoire d’Alan, résumée, commence dans son enfance quand il s’occupe avec passion de petits animaux de compagnie.
Pourquoi parle-t-on de castagne lors d’une bagarre? Ce mot est emprunté à un dialecte méridional – probablement le gascon selon le cnrtl.fr, ou est d’origine occitane selon Wikitionnaire (castanha). Ou simplement repris de l’italien castagne. Il désigne en vrai tout autre chose que la bagarre.
Aujourd’hui je jette l’ancre – et l’encre – de ma rubrique du côté du Massif central. Précisément à 45 kilomètres à l’ouest du Puy-en-Velay, à Saugues, dans une campagne plutôt pauvre.
Aujourd’hui je mets en avant un couple. Un de ces couples de fous merveilleux, engagés corps et âme dans une passion commune: grimper les murs. Un duo des cimes qui arpente les pistes verticales depuis 20 ans.
Un tracteur rouge ronronne entre les champs de lavande. Au volant, Fabien. Il traverse la vallée sous le soleil des Baronnies en Drôme provençale. On n’est pas loin de l’Ennuyé. L’Ennuyé, c’est la rivière qui donne son nom à cette vallée.