La pêche au voix noires a commencé. Noires de carbone. On apprend dans Le Matin Dimanche de ce jour que le parti Libéral-Radical promet la rédemption écologique. Chaque vote sera « neutre en carbone ». Chaque vote en sa faveur, faut-il préciser.
La pêche au voix noires a commencé. Noires de carbone. On apprend dans Le Matin Dimanche de ce jour que le parti Libéral-Radical promet la rédemption écologique. Chaque vote sera « neutre en carbone ». Chaque vote en sa faveur, faut-il préciser.
Qu’est-ce qui a changé de manière visible et/ou sensible dans les régions d’Europe de l’ouest? J’insiste sur le visible et/ou sensible, ce qui parle aux gens. (Clic sur les images pour les agrandir).
Le fameux printemps de campagne du jeune Emmanuel prend un coup de froid. La météo politique d’Hexagonie est maussade. Les administrés – du moins nombre d’entre eux – osent une jacquerie d’une ampleur à faire rêver Mélenchon du Grand soir.
Il fallait oser. Il l’a fait. Le Premier ministre canadien, séducteur guimauve et avatar New Age tardif, était récemment en conférence à New York. Il s’adressait à des étudiants et vantait le libre échange. Comme souvent il a prôné la tolérance.
Le réchauffement actuel n’est qu’un sous-cycle dans la tendance générale à long terme de l’holocène. Il est peu significatif quand on le compare aux dix derniers millénaires. Et il est bienvenu. Car nous sortons d’une des périodes les plus froides depuis la dernière glaciation.
Aujourd’hui 22 avril de nombreux chefs de gouvernements ratifient à New York l’accord sur le climat finalisé lors de la COP21. La date est symbolique: aujourd’hui 22 avril est le Jour de la Terre. Et cette année les arbres sont à l’honneur.
« Si l’abeille disparaissait de la surface du globe, l’homme n’aurait plus que quatre années à vivre ». On attribue cette citation à Albert Einstein. Sauf qu’Einstein ne l’a jamais prononcée.
L’écologie est fondamentalement conservatrice. Son discours depuis quarante années est rempli de mots et expressions comme: conserver le patrimoine naturel, préserver les ressources, rétablir l’équilibre antérieur, sauver la planète contre la surconsommation. L’Homme est perçu idéalement comme un gardien de la nature, pas un exploitant. Ou alors un exploitant sage et mesuré, ne cherchant à satisfaire que des besoins fondamentaux.
Le tunnel sous la rade est un des rares grands projets à Genève depuis longtemps. La plage en est aussi un mais l’enjeu et la réalisation ne sont pas de la même envergure. La plage, si elle se fait, ne servira qu’une partie de l’année, et probablement pas pour tous les genevois. La rive gauche et les abords immédiats seront privilégiés.
L’annonce de l’entrée en dette de la Terre a fait le tour du monde le 21 août. La planète produit ou régénère moins que ce que nous consommons. Chaque année cette dette commence plus tôt. Comment est-ce possible?
Le thème du déclin de l’occident est au top. C'était un thème classique de la droite nostalgique de l'Empire ou de l'Ancien régime. Cela devient un trend de la gauche désabusée. Quiconque croit en l'avenir est relégué au musée de la ringardise. La confiance se vend mal. Trente ans de culte du anti-héros ça laisse des traces. Les héros modernes sont sombres ou ne sont pas. Il y a une douce nostalgie dans le thème du déclin, et une sorte de repos, d’abandon de ses responsabilités.
Je n’en ai pas fini avec cette info abusive que j’avais relayé. Cette fois je donne la preuve en image. Rapide rappel: le 25 juillet dernier un communiqué de la Nasa informait que la calotte glacière (inlandsis) avait fondu à 97%. Les agences de presse en ont fait du sensationnel. Il ne resterait que 3% de glace sur la Terre Verte.
Etrange article apocalyptique dans la revue Nature. Il relate une étude réalisée par la Simon Fraser University de Vancouver au Canada. Un chercheur prédit l’effondrement du climat de la planète avant la fin de ce siècle. Selon Arne Moers et son équipe, la rapidité du changement de la biosphère pourrait avoir une issue fatale d'ici à 2100.
Ce peut être fermé. Bouché de tous côtés. Pas d’issue, rien qui sauve. On ne peut que rester là, comme une pierre, à regarder les mouettes folles emportées par la bise et des squelettes noirs lancer leurs bras vers un ciel couleur de fer gris. La terre ne bouge pas. Elle sait. Elle connaît le pire. Elle se souvient.
Et le disent ouvertement. Dans une lettre récente adressée à leurs organismes de tutelle, plus de 400 scientifiques français demandent un soutien plus explicite des autorités en faveur des thèses du réchauffement et du GIEC. Ils s’opposent ouvertement à ceux qui contestent ces thèses, en particulier sur le fait que le réchauffement soit principalement dû aux humains.
Elle fait du bruit. Elle envahit les villes. Pour elle on bitume des campagnes. Elle utilise une place folle à l’arrêt. On lui construit des immeubles ou des grottes souterraines pour la parquer. Elle consomme une énergie épuisable. Elle pollue. Elle contribue à la mort de 1,2 millions de personnes chaque année selon l’OMS. En 6 ans c’est l’équivalent de la population de la Suisse qui disparaît. A ces morts on peut ajouter les blessés graves, mutilés, amputés, handicapés à vie, et les enfants orphelins, les familles détruites.
Dans le premier billet j’abordais la question des différences hommes-femmes d’une manière générale. Je citais quelques exemples extraits du magazine «Cerveau & psycho», numéro spécial février-avril sur les différences du cerveau entre les genres. Je continue à citer des recherches présentées dans ce magazine et dont les sources sont indiquées dans chaque article.
Les hommes et les femmes sont différents. Les comportements sont en partie modelés par le milieu, mais certaines différences ne trouvent pas à s’expliquer uniquement par l’éducation et l’environnement social. Il semble qu’il y ait un «inné» et pas seulement un «acquis». Toutefois il semble que l’interaction entre l’inné et l’acquis soit permanente, l’environnement étant susceptible de modifier l’expression d’un gène et de donner une fonction «acquise» à quelque chose qui était auparavant un «inné».
Le nucléaire est une invention (presque) comme une autre. Travailler la nature, la transformer, la modeler selon nos besoins, utiliser ses ressources, inventer ce qui n’existe pas: ce n’est pas nouveau. Cela fait partie de l’espèce, et l’énergie nucléaire n’est à ce point de vue qu’un prolongement du pilon et de la roue. Toutes les espèces modifient quelque peu leur environnement ou au moins interagissent avec. L’humain est en tête dans ce processus de transformation.
Deux tremblements de terre particulièrement violents ont frappé le Japon cette nuit. Le premier a atteint une magnitude de 8,9 et le second de 6,4. Pour mémoire le séisme de Noël 2004 en Indonésie, suivi du tsunami meurtrier, avait atteint la puissance de 9,1à 9,3. Une réplique de magnitude 7,9 a été signalée également ce matin.
Les émissions de gaz à effets de serre, la pollution des nappes phréatiques ou le gaspillage de terres agricoles: les animaux de boucherie y sont pour beaucoup. Les bovins par exemple rotent et pètent avec une intensité et une fréquence problématiques pour l’environnement, vu le nombre de bêtes à la surface de la terre.
Ainsi donc 50 tonnes de chanvre ont été saisies à l’époque dans les entrepôts de Bernard Rappaz, et sont à l’origine d’une partie importante de sa condamnation. Ces 50 tonnes auraient valu sur le marché environ 35 millions de francs.
Je n’ai pas encore parlé de l’oiseau qui illustre mon blog et dont j'ai mis une nouvelle image. (C’est curieux de dire «parler» quand j’écris). C’est un Circus. En français: un busard. Un rapace particulier dont on recense plusieurs variétés en Europe: busard pâle, busard des blés, busard cendré, des roseaux, de la Saint-Martin pour les plus connus. On les trouve sur l’ensemble de la planète.
Des scientifiques ont pratiqué des forages dans la calotte glaciaire au Groenland et ont atteint la roche de fond. Dans les tronçons de glace, des résidus du passé: poussières, bulles d’oxygène, isotopes, soit des marqueurs de l’état du climat du passé.
De plus en plus de signes et de scientifiques se penchent sur ce qu’il est désormais convenu d’appeler le «refroidissement global», ou «Global cooling». A l’inverse du réchauffement climatique, il est ici question de la régression des températures.
C’est un scientifique australien qui l’affirme dans une interview au journal The Australian datée du 16 juin 2010: l’espèce humaine va disparaître d’ici 100 ans, et il n’y a rien à faire. Ce serait déjà trop tard. Ce scientifique est Frank Fenner, virologue, qui a contribué à l’éradication de la variole et à la mise sous contrôle de la mixomatose.
Alors que le nouveau couvercle est testé depuis maintenant plus de 48 heures, avec succès jusqu’à hier puisque la fuite semble avoir été stoppée, on apprend aujourd’hui qu’une nouvelle fuite a été détectée dans les environs du puits bouché
Avant de regarder quelle est la météo sur l’Europe ce dimanche après-midi 18 avril,des infos contradictoires circulent sur la force de l’éruption. Hier on parlait d’une diminution, aujourd’hui d’un renforcement.
C’est ainsi qu’on le nomma en France à l’époque après la prise de la Bastille: "volcan de la Révolution". Le Laki, ou Lakagigar, est en fait une chaîne de volcans. Elle suit la même ligne que le volcan actuellement en éruption.
La mairie de Paris tente une expérience pilote: implanter deux mini-éoliennes sur le toit de la Maison de l’Air près du parc Belleville, dans le 20e arrondissement.