Dites bientôt adieu à la voiture électrique. Ce n’est plus l’avenir. Ses limitations (autonomie, durée et lieux de charge, prix et composition des batteries aux terres rares non renouvelables) sont rédhibitoires. Et il y a mieux à venir.
Dites bientôt adieu à la voiture électrique. Ce n’est plus l’avenir. Ses limitations (autonomie, durée et lieux de charge, prix et composition des batteries aux terres rares non renouvelables) sont rédhibitoires. Et il y a mieux à venir.
Dites bientôt adieu à la voiture électrique. Ce n’est plus l’avenir. Ses limitations (autonomie, durée et lieux de charge, prix et composition des batteries aux terres rares non renouvelables) sont rédhibitoires. Et il y a mieux à venir.
C’est presque une raison sociale tellement leurs noms sont associés : Mayor & Quéloz, mondes en tous genres. Pourtant ils nous mettent dans la panade. Avant eux c’était tout simple. La vie était un phénomène purement terrestre, point barre. Les autres mondes étaient de la science-fiction.
La vue des images, la pensée de l’événement, stimulent mes neurones. Mais aussi la formidable organisation qui a permis de tout imaginer et mettre en place, dont des centaines de milliers de collaborateurs directs ou sous-traitants, ainsi que l’état d’esprit qui a prévalu. De la première idée au dernier boulon serré, tout était scruté, transparent et évolutif. Ci-après, quelques extraits d’un article de Marc Tison paru dans lapresse.ca qui expose cela point par point.
Je m’étais promis de ne pas aborder les « affaires lunaires ». Et j’ai failli, dans un court commentaire sous un récent billet. Avant de les ranger à nouveau dans leur boîte je souhaite démonter le faux aveu de Buzz Aldrin, utilisé par les « négationnistes » comme une preuve indiscutable du mensonge.
Deux courts sujets ce matin. D’abord la Cosmic Watch, une appli qui devrait plaire aux amoureux des étoiles comme au astronomes amateurs, et qui donne aussi l'heure. Ensuite l’arrivée du front froid en gif animé.
La revue féministe anglophone Gender, Place, and Culture a publié et porté au pinacle une étude intitulée: « Réactions humaines à la culture du viol et performativité queer au sein des parcs à chiens de Portland, Oregon ».
Chang’e-4, New Horizon et Insight: plusieurs événements ont marqué l’actu spatiale ces dernières semaines. Mars again, Ultima Thulé et la face cachée de la Lune: de quoi faire rêver.
D’abord cette info surprenante. Une étude récente sur le réchauffement des océans a dû être modifiée après publication dans Nature. L’étude, très alarmiste, avait pourtant été révisée puis validée par un comité de lecture et publiée dans la plus prestigieuse revue scientifique au monde. Or la méthodologie et les conclusions de cette recherche étaient erronées.
Le Faucon est arrivé à destination près du Dragon de la mer. Il a le ventre gros de sa Mascot, boîte carrée qui verra bientôt le jour dans la nuit sidérale. Un programme chargé les attend autour de ce « dé » cosmique à huit faces.
Rapide survol de Mars grâce à quelques-unes des belles images de la planète rouge. On y découvre que cette couleur, observée depuis des temps anciens, est plutôt orange ou ocre quand on approche de son atmosphère ou de son sol, comme le montre l’image 1 de l’horizon martien (image CNES, clic pour agrandir).
Les grandes peurs collectives sont nourries par certains comptes-rendus d’études scientifiques. Par exemple celle-ci: à cause des chiens, des centaines de millions d’êtres humains pourraient périr. Les chercheurs nous régalent.
On sait que le CO2 est indispensable à la croissance des végétaux. Mais son augmentation ne comporte pas que des avantages. Une récente étude montre une baisse de la qualité nutritionnelle du riz quand le niveau de CO2 est élevé.
En avril 2016 déjà une étude parue dans la revue Nature indiquait déjà que la pluviométrie observée au XXe siècle n’avait pas connu les extrêmes annoncés par les modèles des climatologues. Les modélisations, et ceux qui les élaborent, avaient surestimé les effets du réchauffement, en surestimant la réponse de l’atmosphère au forçage radiatif.
Je ne crois pas à la théorie conspirationniste des chemtrails. J’ose même l’offense: croire à cette théorie et la professer, c’est faire peu cas de la raison. Résumé de la théorie et éléments critiques.
Elon Musk a fait sa pub en envoyant une Tesla roadster en l’air, comme une hôtesse du même genre. Mais a-t-il anticipé le risque de chute sur notre planète? D’autres le font. Et ça craint! Sur un un tabloïd on lirait: Tesla va tomber sur nos têtes. Séquence dramatisation.
Ils sont fous ces ricains. Il n’y a qu’eux pour imaginer un tel défi: une sortie dans l’espace sur les chapeaux de roue. De voiture. Inconvénients: pas de panneau indicateur ni de marquage des routes célestes.
Je choisis le mot en -isme pour indiquer qu’il ne s’agit pas d’actions ponctuelles mais d’une philosophie politique générale. Conservation et limites ont remplacé le paradigme libertaire des années 1950-1980.
Le Matin d’hier s’est livré à la surenchère. L’ours blanc fatigué, actuelle vedette des médias, est désigné comme un martyr. D’ailleurs martyr est forcément pluriel, même sans S généralisateur (image 3). Un seul ours est malade et tous seraient martyrs. C’est le message.
Retour sur cette image largement diffusée dans les médias. Il y a comme un syndrome Aylan: l’ours est seul, peut-être mourant. Un seul spécimen tire des larmes au monde entier. Son agonie serait la preuve de la situation supposée dramatique des ours polaires.
Si la situation est rare dans le cas d’un ouragan elle n’est pas totalement inédite. Car malgré leur puissance endogène ces éléphants météorologiques dépendent des circonstances extérieures. Ici, d’un vaste anticyclone qui le bloque sur place.
Les jours paressent déjà dans cette moiteur qui vient du sud. On dirait l’été. C’est l’été: en météo il débute le 1er juin. Pourtant juin n’est pas toujours si chaud, ni ensoleillé. En fin d’après-midi la terre remercie le ciel, laissant monter ses multiples odeurs dans une brise thermique agréable.
Selon Jean-Pierre Chalon, l’impact des nuages sur le bilan radiatif de la Terre est 40 fois supérieur à celui attribué aux variations des teneurs en gaz à effet de serre enregistré au cours de ces dix dernières années.
Un chercheur suisse a réalisé une étude sur les libellules femelles Æschne des joncs. Il a mis en évidence leur stratégie pour se soustraire aux sollicitations des mâles quand elles sont en période de ponte. Une chroniqueuse canadienne du Journal de Montréal s’est saisie de cette étude pour faire une théorie.
Le 21 avril 2012 je présentais sur ce blog un citoyen Grand-Breton: Luke Howard. Un drôle de pharmacien toujours la tête dans les nuages – au point de devenir météorologue. Moi-même, anciennement ado rêveur, j’avais songé à embrasser cette carrière et le ciel en même temps.
Soirée espace hier sur Arte. La chaîne projetait le film de l’intégralité de la mission Rosetta. De la conception jusqu’à la plongée finale sur le gros canard de glace. Un film qui sort de l’ordinaire et qui laisse une large place à l’aventure humaine. Émotions et passion.
Depuis quelques années plusieurs mammouths ont été sortis bien conservés du pergélisol. Avec des tissus mous et du vieux sang riches en ADN. De quoi en placer des brins dans des cellules d’éléphante d’Asie, en voie de disparition, pour tenter le clonage.
Les applications technologiques avancent à toute vitesse. Des chercheurs bossent comme des fourmis dans l’ombre des laboratoires, et un jour nous sortent un lapin du chapeau.
L’épuisement est là. Au bout de ses réserves d’énergie, la sonde Rosetta va se taire dès aujourd’hui. Elle ne pourra plus communiquer avec le petit robot Philae ni avec la Terre. Et s’éteindra sur Tchouri, cette comète en forme de trognon de pomme – ou de canard, selon l’angle de vue.
On apprend que l’exoplanète la plus proche de la Terre, Proxima b, serait éventuellement habitable. Sa température estimée est compatible avec la présence d’eau liquide. Et elle n’est « qu’à » 4,2 années-lumière de notre Terre.